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Une fois arrivés chez moi, j'ouvrais la porte et retirais mes chaussures, laissant un court instant Jongin sur le pas de la porte pour aller lui chercher des serviettes chaudes pour qu'on puisse nous réchauffer. Je lui donna et le fis entrer dans mon appartement, le laissant s'installer sur le canapé pendant que je nous faisait couler un bon bain chaud pour nous réchauffer.
Je reviens assez rapidement dans le salon et le voyais renifler en tremblant de froid. Je souris tendrement en le voyant enfin plus clairement. Il avait l'air d'un enfant perdu à agir ainsi. Il était vraiment trop mignon. Je m'approche un peu plus de lui et viens prendre sa main pour le mener jusqu'à la salle de bain. Je le dirige à travers ma chambre pour aller dans ma suite. Puis je l'aide à retirer son t-shirt, gardant une douceur inébranlable.
J'embrasse ensuite sa joue, puis son front et le bout de son nez tout froid.
— Vas y, je te rejoins dans un instant...
Jongin hocha doucement la tête comme approbation et je m'en allais dans le salon pour nourrir mes chats avant de prendre nos habits trempés et les mettre à laver. Une fois que j'avais finis tout ça, je reviens dans la salle de bain et constate qu'il était déjà dans le bain, je retire alors la serviette que j'avais garder autour de ma taille puis entre dans la baignoire, soupirant d'aise au contact de l'eau chaude.
Je me rapprocha alors de lui, me mettant entre ses cuisses puis je posa mes lèvres sur les siennes, le ramenant égoïstement contre lui.
— Mon amour...
Il perdu son regard sur mes lèvres, qui étaient étirés dans un léger sourire. Il sourit au surnom que je lui avait donné. Il avait l'air perdu dans un univers alternatif. J'embrassais alors sa mâchoire avec affection pour le faire revenir à moi.
— Reviens-moi mon Jongin...
Il glissa lentement ses mains sur mon torse nu, il évita d'un geste simple mes baisers pour embrasser à son tour mon cou avec délicatesse.
Je souris en remarquant qu'il avait repris le contrôle de ses pensés et le laissais faire e restant blottis contre lui.
Il laissa glisser ses lèvres sur ma clavicule puis la mordit légèrement sans me blesser pour autant. Je le laissais faire comme bon lui semble, caressant son torse d'une main et sa nuque de l'autre.
— Tu me fais tourner la tête, j'arrive pas à penser à autre chose qu'à toi...
Ses grandes mains étaient maintenant au creux de mes reins, il resta silencieux un moment, me laissant apprécier de nouveau ses caresses contre ma peau.
— Alors ne penses plus à rien et laisse faire les choses...
Je l'embrassais chastement de quelques baisers papillons au bout de ses lèvres et le regarda dans les yeux. Nous nous perdions ainsi dans le regard de l'autre, comme si nous étions complètement ailleurs.
