Larmes et sang

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Sous le ciel étoilé et sans lune d'argent

Glissent et roulent les douces vagues caressant

La plage; seul et plein d'orgueil le vent rugit

Au loin, hurle le loup d'une plainte infinie.


Sans un bruit, dans la nuit, perdu dans ses pensées

Son sourire s'agrandit, songeant à son aimée.

Celle qui, sans un mot dans son cœur est entrée,

Belle comme le jour et la brise d'été.


Arrive la déchirure, douleur atroce.

Cruelle, la sorcière est partie pour toujours,

Saigne le cœur délaissé rempli de souffrance.


Il attend l'astre doré et, le souffle court,

Regarde sa vie s'en aller; et vers la mer,

Se mêlent à grands flots les goûts du sel et du fer.

Chuuut, j'écrisOù les histoires vivent. Découvrez maintenant