Salam les fillesss
Une semaine c'était écoulé sans que j'ai la force d'aller le voir. J'serai pas vous dire le nombre de fois où j'étais devant sa chambre mais que j'osais pas rentrer par peur de sa réaction.
Mais aujourd'hui j'étais décider à y aller. Je suis arriver devant sa chambre j'ai mit ma main sur la poignée je l'ai baissé et j'ai pousser la porte.
Il était allongé il dormais ces blessures avait cicatriser depuis il avait l'air d'aller beaucoup mieux sa me rassurait.
J'ai prit une chaise et j'me suis installer à côté de lui. Je lui ai tout dit de A à Z et la c'était que des vérités, je lui ai raconter les appels et le message je suis rester une heure avec lui puis y'a une infirmière qui est venue me dire que les heures de visites étaient fini donc j'ai du y aller.
Je suis rentré chez moi j'me sentait mieux, le fait de l'avoir vu de savoir qu'il allait de mieux en mieux me rendait heureuse. Sa peut paraître bizarre après ce qu'il m'as fait mais bon.
Je vous repasse encore deux semaines je sais sa fait beaucoup mais sa sert a rien de vous raconter des choses inutiles qui ne nous avanceront à rien dans l'histoire.
Plus qu'un mois avant les grandes vacances. Ibrahim devait sortir de l'hôpital aujourd'hui. Nessim est parti le chercher et il l'as déposer chez lui.
C'était un jour ou j'étais de bonne humeur donc ne me demander pas pourquoi je me suis lever j'ai fait des crêpes comme il aime et j'ai été chez lui.
Je sais vraiment pas ce qui m'as prit de faire ça malheureusement y'avait personne pour m'arrêter mdrr
Il m'as ouvert en me regardant de haut en bas.
Moi: Salam non ?
Ibrahim: Kestu me veux ?
Moi: Je voulais juste savoir si t'allais bien.
Ibrahim: Toi t'as pas comprit j'crois. Je t'ai zapper de ma vie fait pareille toi aussi petite chèvre w'Allah c'est fini t'es plus rien pour moi.
Et il m'as claqué la porte au nez. Aller boom dans ta gueule Safiya sa t'apprendra à vouloir faire la gentille avec les méchants.
T'es plus rien pour moi.
Sa tournait en boucles dans ma tête sans s'arrêter même quand j'essayais de dormir je le voyait me le redire il était ancré dans ma tête.
J'étais à bout de force j'en pouvais plus je voulais lui reparler le revoir même si j'faisais mine de rien et que je montrai rien quand j'étais avec lui y'a qu'avec lui que j'allais réellement bien.
J'suis resté une semaine à déprimé dans ma chambre je sortais plus j'en avait marre même pour travailler je me levais plus.
J'ai rater quatre jours de travail pour lui là, j'savais très bien qu'il en valait même pas la peine en plus.
Vers 22h sa a toquer à ma porte mais dites vous même sa j'avais la flemme alors j'ai fait zehma je dormais mais là personne elle forçait, mais quand je vous dit forcer c'est vraiment forcer elle est rester dix minutes.
J'ai fini par me lever, j'ai regardé c'était qui et c'était Ibrahim.
Ibrahim: J'sais que t'es réveiller ouvres.
Moi: Casses toi.
Ibrahim: Ouvres dépêches toi.
Moi: Non retourne chez toi
Ibrahim: J'bougerai pas d'ici tant que tu m'aura pas ouvert, ouvre !
J'ai ouvert la porte tout doucement et j'ai été me remettre dans mon lit tant dit que lui il me suivait jusqu'à dans la chambre.
