THE FANFICTION - VINLAND SAGA x O/C

Chapitre XI

Et aussitôt, il me prit par les hanches, ses grandes mains s'enfoncèrent dans ma chair, qu'il traitait avec beaucoup moins de délicatesse qu'au départ.
- Mets-toi à quatre pattes, dit-il.
Malgré que je me sentais plus légère grâce à l'alcool, je ne pus m'empêcher d'appréhender cette nouveauté. Thorkell sembla le remarquer.
- N'aies pas peur, rassura-t-il. Je vais te laisser le temps de t'habituer à moi.
- C'est juste que... Je n'ai jamais fait...Comme ça...
- Laisse-moi faire, princesse. Oh, j'ai tellement hâte... Je vais t'empêcher de t'asseoir jusqu'au printemps.
Sa prédiction me fit tressaillir, mais mon corps appelait cette nouveauté. Je me plaçai dos à lui, et arquait mon dos pour lui offrir la meilleure vue possible. Sa réaction ne se fit pas attendre, et sa paume puissante s'abattît sur moi, m'arrachant un couinement dans un des coussins.
- Je vais te remplir par derrière, glissa-t-il à mon oreille, et je sentis son torse épouser mon dos.

Ce n'était pas une légende. Le Seigneur Thorkell était réellement un bon amant. Son sexe me remplit lentement mais avec force. Sa taille était à peine supportable, je respirai fortement pour encaisser cette fougue.
- Par Odin, dit-il. Ce que tu es serrée...
Puis il entama une série de mouvements lents et doux. Je ne pus m'empêcher de gémir quand toute sa longueur fut en moi, et à nouveau, il me couvrit la bouche d'une main.
- Chuuuut ! souria-t-il. Ou je cesserai. Je ne tiens pas à passer pour une bête auprès de mon armée... 
- Non ! j'ai soufflé à travers ses doigts.
- Très bien, très bien... Alors, je vais te baiser maintenant.

Mes yeux roulaient en tous sens, et je ne savais plus où j'étais. Il me remplissait à un rythme fou, tenant mes poignets greffés dans mon dos. La tête piquée sur le matelas, je retenais mes larmes. J'allais m'évanouir, s'il continuait. C'était trop bon, bien plus sauvage qu'avec le Seigneur Askeladd. Thorkell avait l'aura d'un dieu fougueux que j'aurai contrarié. Il ne me laissait pas une seconde de répit. Sa chair heurtant la mienne provoquait un bruit régulier. 
- Seigneur Thorkell... j'ai gémis.
Mais je ne savais pas quoi ajouter. Il ne semblait, de toute manière, pas disposé à m'entendre. Avoir avoir glissé une main dans ses cheveux afin de les décoller de son visage qui commençait à perler, il empoigna mes hanches fortement, me forçant à prendre toute sa longueur à chaque mouvement. Je ne pouvais délicieusement pas lui échapper. 
- Mets-toi sur les mains, intima-t-il. Laisse-moi toucher ces seins.

La pression de ses doigts sur mes tétons me fit archer davantage le dos. J'épousai parfaitement son membre désormais humide. Bientôt, je sentis des fourmillements dans tout le corps, et surtout au niveau du visage. Ma vue se troubla.
- Je sais que tu en as envie, encouragea Thorkell. Laisse-toi aller.

Comme pour ajouter à ma tendre souffrance, il glissa une main sous moi et caressa mon sexe. Je manquai une inspiration et eut le souffle coupé. Il sembla le remarquer et maintint le rythme sans sourciller. 
- Ne fait pas la timide avec moi, dit-il avec une pointe d'impatience dans la voix. Dépêche-toi de me donner ce que je veux, je ne pourrais plus tenir très longtemps, moi non plus... 

Mais son corps montrait le contraire. Infatigable, il ne modifiait aucunement sa manière de prendre possession de moi. Mais je tentais de retenir au maximum mon arrivée. J'aimais le provoquer, le voir s'agacer. Cela allait devenir un jeu entre nous : qui serait le plus taquin avec l'autre ? 
- J'en ai assez, dit-il fermement. Je vais te faire jouir sur ma queue, que tu le veuilles ou non. 

Et d'un geste vif, Thorkell attrapa une poignée de mes cheveux et les tira fermement en arrière, m'obligeant à me redresser pour être plus proche de lui. Sa barbe me piqua le visage alors qu'il me parlait à l'oreille. La douleur sur mon crâne me rendit encore plus dépendante de son contact. 
- C'est comme ça que tu veux que je te baise, hein ? En te montrant qui tient les rênes ? Regarde-moi.