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𝓐𝓭𝓲𝓮𝓾,𝓶𝓸𝓷𝓮𝓽𝓸𝓲𝓵𝓮,𝓳𝓮𝓽'𝓪𝓲𝓶𝓮𝓪𝓵'𝓮𝓽𝓮𝓻𝓷𝓲𝓽𝓮𝓮"
Le jeune homme était paisiblement installé, perdu dans les pages d'un livre qui l'absorbait totalement. Les mots imprégnaient l'atmosphère, créant une bulle d'intimité entre lui et les aventures dévoilées par les lignes.
Cependant, cette tranquillité fut soudainement troublée par une voix, une voix qui agaçait plus que tout le gris. T/P, une jeune fille pleine de vivacité, s'obstinait à vouloir interrompre cette quiétude littéraire. Ses paroles, comme une perturbation persistante, transperçaient la concentration du jeune homme.
Il releva les yeux de son livre, le front légèrement plissé par l'irritation naissante. T/P, apparemment insensible à la quiétude qu'il tentait de préserver, continuait à le solliciter avec une énergie déconcertante. La paix qu'il avait trouvée entre les pages se dissolvait peu à peu sous les assauts de cette voix insistante.
La scène évoquait un conflit silencieux entre la tranquillité recherchée du jeune homme et l'énergie effervescente de T/P, créant une dynamique émotionnelle complexe au cœur de ce moment inattendu.
-Bonjour Alhaitam,comment tu vas aujourd'hui,demande t/p avec sa joie habituelle.
-Laisse moi,dit simplement le jeune homme avec un froideur sans égal,ne donnant même pas un seule regard à la jeune fille,qui ne perds cependant pas sa bonne humeur.
-Aller,parle moi,s'exclame celle-ci en s'asseyant a côté de lui.
-Tu me dérange,lui dit il avant de ne plus lui prêter plus attention t de se replonger dans son livre.
Le jeune homme, résolu à retrouver l'apaisement de son livre, replongea ses pensées entre les pages, insensible au récit tumultueux de T/P qui déversait des histoires variées sans trouver la moindre résonance dans son auditeur focalisé.
Cependant, l'indifférence du jeune homme ne tarda pas à se manifester. Les paroles animées de T/P, qui avaient commencé avec un enthousiasme palpable, tombèrent dans un silence inébranlable. L'expression vibrante de son visage, initialement illuminée par la volonté de partager, se transforma en une ombre déçue.
Un flétrissement imperceptible prit place sur son sourire, signe d'une réalisation douloureuse. Comprenant que ses mots se perdaient dans le néant, T/P, avec une voix moins enthousiaste et teintée de calme, décida de prendre congé. Elle déclara qu'elle le laisserait tranquille pour le reste de la journée.
