Je me nomme Eileen, j'ai 14 ans, et ce que vous allez suivre aujourd'hui, est ma grande aventure à travers le merveilleux monde des Pokémon.
C'est sur les traces de mon idole, Red, dont j'ai lu chaque parcelle de ses aventures, regardé chaque docum...
Au contact de ses deux Pokémon feu, Eileen passaune agréable nuit, reposante et revigorante. Bercée par de doux rêves.
Lorsque son réveil se mit à retentir, elle sauta du lit, l'appel des Pokédollars étant pour elle une énorme source de motivation. Elle courut à la salle de bain, réveillant en sursaut Salamèche et Goupix qui la suivirent dans tous les sens, et s'est préparée avec ses vêtements encore propres de la veille.
Lorsqu'elle fut prête, elle courut dans la chambre de Mizuki qui, pour sa part, dormait encore à poings fermés.
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Eileen : DEBOUT, FLEMMARDE !!! ON A UNE MISSION À ACCOMPLIR ! HABILLE-TOI, FAIS TON SAC ET RÉVEILLE AYDEN ! JE VOUS ATTENDS EN BAS !
Hurla-t-elle en ouvrant violemment la porte de sa chambre, réveillant Mizuki en sursaut à son tour, ainsi que probablement... Une bonne partie du Centre Pokémon.
À peine eut-elle repris l'esprit qu'elle chercha Eileen du regard, qui visiblement... Avait déjà disparu...
Mizuki : Elle est vraiment cinglée...
Mizuki prit le temps de s'étirer, puis se leva encore somnolente et partit se préparer en grommelant.
De son côté, Eileen avait déjà rassemblé ses affaires, descendit au rez-de-chaussée, et commanda un petit-déjeuner suffisamment copieux pour tenir un bon moment.
Albert : Z'avez entendu ça m'sieurs ?! Aux infos y font qu'parlé d'l'attaque d'hier. Paraît qu'des témoin ont vu l'professeur qu'à failli s'faire planté par un d'ces gredins d'voyou d'la Team Rocket. Paraît même qu'ces une gosse qui l'a sauvé. S'i peuv' mêm'pu s'défendre tou-seul, n'va pas allez bié loin...
C'est ce que surprit Eileen de la part d'un vieux fermier à l'allure négligée faisant la conversation à d'autres hommes âgés autour d'une table.
Eileen : Et j'imagine que ceux qui disent ça étaient gentiment assis aux chaud, tremblant comme les vieux ramassis de conneries qu'ils semblent être, devant leur fenêtres. Ils ont risqué leur vie pour cette ville. Soyez un peu plus reconnaissant.
Disait-elle à voix haute en se levant et en se tournant vers eux.
Albert : Qu'est c'qu'elle nous veut la mioche ? Tu t'prends pour qui pour parler comme ça à des adultes ? Une raclée dans t'gueul' v'là c'que mérite les gosse sans éducation dans t'genre.
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