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Il me donne encore et encore des coups avec sa ceinture et je crie de douleur.
Je suis couchée sur le dos alors je les reçois en plein ventre et sur les jambe.

Il me crie dessus et m'insute de tous les noms surtout pour avoir dit à haute voix qu'il avait une petite bite .
Nous savons tous que pour enragée un homme il faut dénigrer ce qui fait de lui un homme ,alors il se déchaîne sur moi comme si j'étais pas humain.

Je crie à ne plus avoir de force, il jette la ceinture de l'autre côté de la pièce et monte sur moi .
Il me regarde avec bestialité, ce regarde sadique qui en dit long. Ce regard qui veut dire qu'il prend du plaisir rien qu'en faisant du mal, ce mec est malade.
Je prie Dieu de me libéré de ses griffes.

Il déchire mon haut et je me retrouve en soutien gorge, j'ai envie de couvrir mes seins avec mes mains mais elles sont enchaînés.

Il dégrafe mon soutien et le jette au loin, il empoigne mon sein gauche dans une main et mordille fortement l'autre ce qui me fait échapper un gémissement de douleur.

Il s'empresse vers mon cou qu'il suçote avec brutalité, avant de descendre et me retirer violemment mon pantalon qu'il lance quelque part dans la pièce.

Il caresse mon corps avec fougue , me dévorant et me mordillant tel le sadique qu'il est .
Mes gémissements se font de plus en plus fort .

_ Alors tu aimes sale pute?!...

_ laisse moi ne me touche pas avec tes sales pattes.

_ Avoue t'aime arrête de faire ta timide...

_ je te déteste tu me procure que du dégoût.

Je le hais et je ne ressens que de la douleur et du dégoût. Je veux pas qu'il me touche Mais ce chien prend du plaisir en me faisant du mal .

Il m'embrasse en me Mordant fortement la lèvre , je sens le goût du sang dans ma bouche .
Il met un doigt en moi, je me déteste de ressentir du plaisir, puis deux doigts après trois .

Il s'éloigne pour regarder l'expression de mon visage, voyant que je laisse rien parait .
Il se frustre et retire ses doigts de moi pour  me pénètrer d'un coup sec .
Un cri de douleur s'échappe de moi et je griffe son dos de toutes mes forces .
Plus je serre plus il y va fort, je vais m'évanouir.

J'avais dit qu'il a une petite bite mais j'ai menti . Il en a une grosse et une bonne , je me déteste de ressentir du plaisir mais j'y peux rien même si c'est un viol il me fait du bien.

Ses va et viens se font de plus en plus rapide, je me retiens de gémir et de crier mais j'en peux plus j'ai besoin d'exprimer ce que ressens c'est plus fort que moi.
Je laisse échapper quelques petits cris.

_ Alors t'avais dit que j'avais une petite bite non ? Et maintenant !? T'en penses quoi ?...  me dit il froidement en serrant mon cou

_ Là tu me sens non?! Supplie moi de te laisser sinon j'arrêterai pas ! Tu vas crier toute la nuit!

Jamais je le supplierais qu'il meurt je m'en fou.

Il va de plus en plus fort , sert mon cou et je manque de m'étouffer.
Il me donne des fessées et tire sur mes cheveux mais je flanches pas .

_ T'es résistante ma petite mais c'est mal me connaître sale conne!

J'arrive plus à tenir je crois je vais lâcher, je suis fatiguée j'arrive plus à supporter. Deux viols en un mois c'est trop pour moi et mon petit cœur.
Fodé est trop sauvage.

_ l...lâche moi ! J...j'en peux plus. Marmonai je avec le peu de force que j'ai.

_ Aller supplie moi sale pute! Allez je t'attends !

La Saveur Du Péché Où les histoires vivent. Découvrez maintenant