Chapitre 6:Mettons les choses au clair

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Pdv Illumi

La chaleur m'envahit, ressentant la chaleur de quelques chose qui m'est pour l'instant inconnue. J'ouvre petit à petit les yeux pour y voir plus clair, à peine ouvrir mes yeux se referme aussi tôt sous les rayons du soleil, il doit sûrement être 10h ou plus. Bon sang... j'ai trop mal à la tête suite à la nuit et au cauchemar de la nuit dernière...j'entends quelque crie provenant de dedans.

-Gon !! Rend moi mon pain !!Cette voix met plutôt familière mais je ne parviens pas à trouver ses qui, mon mal de tête me fait perdre l'ouïe, l'odorat.

-Jamais Killua! Donner c'est donner répondre c'est voler !

Super. Ci il y a ces 2 la je suppose que tout le monde est là.Je me dirige donc vers la cuisine, à peine ouvrit la porte mes yeux s'écarquille, stupéfait, choquer mais à la fois un peu impressionné.Le clown et l'araignée accompagnée de son kuruta voyant que je restais bouche be devant ce... ce moments beaucoup inhabituel, ils explosent de rire, tellement que les larmes leurs montent au yeux. Bien évidemment le clown est le plus pire, vue sa tête son ventre doit se contracter tellement il rigole.

-Il..Ill..Illumi...Illumi!S'éforca t-il de dire, mais ce stupide magicien ne pouvait même pas prononcer un seul mot, j'ai envie de le tuer sur le champs. Tout ce qui sont dans cette pièce d'ailleurs!Je m'en contre fiche, mon regard se tourne sur tout les autres excepté ces 3 idiots, Leolio semble fâcher, Gon et Killua se dispute juste pour..pour un pain...et Alluka joue avec ces poupées toute innocente sur le fauteuil à côté, je me précipite vers elle pour lui dire bonjour même si je ne suis pas très sentimental.

-Bonjour grand frère !!Se confesse t-elle, elle est si mignonne mais malheureusement elle a eu un grand frère aîné sans pitié et sans émotions.

-Bon..Bonjour Alluka.Pourquoi je ne peux pas lui reprendre petit sœur !! Sa me rend beaucoup trop furieux, soudain je sens un aura se coller à moi, espèce de satané clown, il enveloppe son bumgee gum autour de moi, serrant mes bras contre corps pour rester immobile.Il me tira contre lui me faisant assoire sur ces jambes alors que les yeux de l'autre couple du jouet préféré de Hisoka et Gon et Killua qui venait subitement d'arrêter de se disputer était river sur nous. Je m'en fiche des regards en général comme j'ai pue le démontrer hier soir, mais la venant de mon petit frère...sa devient juste gênant.

-Enfin réveiller la belle au bois dormant.Marmonna Hisoka.

-Pourquoi je t'ai pas encore tuer toi.

-PARCE QUE VOUS VOUS AIMEZ!!Tout le monde cria cette phrase en me regardant, Kuroro, Kurapika,Gon,Killua,Alluka, Leolio qui avait enfin finir de faire la tête ou pas... et Hisoka. D'ailleurs c'est sûrement lui qui a du dire sa le plus fort. Tout le monde éclata de rire en me voyant ROUGE comme une tomate mur, sous le coup de l'embarat je sors 4 aiguilles pour chaqu'un d'entre eux.Toutes les aiguilles arrivent en même temps sur tout le monde les faisant plaquer au mur.2 arrivent sur les bouts des manches et les 2 autres arrivaient au bout de chaque extrémité du pantalon. Ils étaient tous sur le mur comme une étoile de mer se qui me faisait rire. Beaucoup trop, le magicien n'avais pas les aiguilles au bout de ces vêtements, non, il avait les aiguilles dans son corps. 4 seulement pour ne pas être méchants, 2 dans chaque épaule une sur le ventre et l'autre la jambe gauche se qui le paralyser totalement, il était pris au piège et ne pouvait bouger.Je sentais l'aura meurtrier du duo. Hiso et Kuro, leurs aura étaient beaucoup trop... comment dire... assez flippant que je me dépêcha de sortir de la pièce à toute vitesse laissant tomber des aiguilles derrière moi espérant les faites tomber. Les deux se sont relever et ont arracher d'un coup sec laissant couler un peu de sang couvrant le haut, ils s'empressèrent de me parcourir dans toute la maison qui était 10fois trop grande. Tel un château, prêt à attaquer, l'un sorti ces cartes et l'autre son bouquin, courant après moi comme je l'espérer les deux ont glisser bêtement sur les aiguilles que eux même avait arracher au lieu de glisser sur ceux que j'avais laisser tomber.

Je te veux, je t'aurais. (HISOILLU)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant