ℂ𝕙𝕒𝕡𝕚𝕥𝕣𝕖 𝟟

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Pdv Sabito :

Quand tout le monde fut arrivé, les lumières furent éteintes et chacun mit son téléphone avec le flash allumé sur la table, pour donner une ambiance.

- Bien... Si personne n'a d'objections, je vais vous raconter une légende de ce collège... Personne n'a pu confirmer sa véracité, car les personnes qui l'ont vu ne sont plus là pour en parler... Je vais vous raconter la légende de l'horreur des toilettes ! Commença Daki en prenant un ton qu'elle voulait mystérieux.

- Il s'appelait Gyokko... C'était un jeune garçon qui aurait pu avoir une vie d'artiste épanouie... S'il ne s'était pas fait harceler par ses camarades au cause de son homosexualité ! Cela arriva a un tel terme que, n'en pouvant plus, notre cher Gyokko se su1cida dans les toilettes des garçons. Et depuis, il hante les toilette où il s'est noyé et, quand un garçon qu'il trouve attirant arrive, il aspire dans ses chiottes et se sert de lui pour satisfaire ses besoins de gay... Puis, ne voulant pas laisser des indices, il les tue et en fait des œuvres d'arts... C'était la légende de Gyokko, le gay pur souche qui hante les toilettes des garçons... Oserez vous retourner au toilettes après ?!

Daki acheva son récit en prenant un air menaçant. Personnellement, je n'avais pas eu peur. Ça aurait pu être terrifiant, sans la partie tirée pares cheveux de Daki. Elle avait du entendre cette histoire et la remixer a sa sauce pour disons, satisfaire ses idées de ... Fan-gay ? Je ne sais même pas comment ça s'appelle...

- J'en ai une aussi ! S'exclama Enmu en s'illuminant le visage avec son téléphone pour avoir un air imposant. Il prit une voix grave et continua . C'est l'histoire de Masuhi. C'est le fils de Tengen. Mais pas un fils quelconque, absolument pas non ! Il est issu de ses TROIS femmes a la fois ! Quand les trois enfants sont nés a peu près au même moment, Tengen n'a pas pu décider lequel il gardait. Il a alors fais appel à une science obscure pour former un enfant hybride a partir des jambes de celui d'Hinatsuru, le torse de celui de Suma et la tête de celui de Makio. Ça aurait pu être une réussite mais, pour survivre, il a besoin de se nourrir de sang... De sang HUMAIN ! Alors depuis, il hante la salle a côté de celle des professeurs, condamnée a toujours.. Si vous passez par là-bas la nuit, vous pourrez entendre des lamentations, appelant sans relâche sa famille d'un cri déchirant. Mais il ne faut pas se fier aux apparences car, même si il semble les appeler par pur amour familial, il veut seulement se nourrir de leur sang qui est un met rare et délicieux pour ce monstre.

Je sentis un frisson me parcourir le dos en entendant les derniers mots. Je sentis aussi les ongles de Giyū se planter doucement dans mon bras. Lui aussi avait eu un peu peur a ce que je vois !

- Heu... J'en ai une qui était assez répandue dans mon ancienne école... Marmonna soudain Giyū. Je l'incitai a continuer, ce qu'il fit rapidement.

- C'est la légende des sœurs papillons. Ce sont des esprits maléfique qui se font passer pour tes amies. Tes meilleures amies même. Elle te font croire qu'elle t'écoutent et te comprennent, mais elle ne sont là que pour se nourrir de ton désespoir. Quand elles sont là, tout deviens plus compliqué même si pour toi, tout est plus facile avec un "meilleur ami " a tes côtés. Et, quand tu crois être enfin heureux, quelque chose te plongé dans la dépression. Encore l'œuvre de ces démons. Seules des pensés noires comblent ton esprit, a un tel point que seule la mort peut t'en délivrer. Quand tu mets un terme a ta vie, elles apparaissent sous leur véritable forme, flottant au dessus de toi et riant doucement. " Est ce que tu vas bien " ou encore " tu es toujours vivant ?" sont les phrases qu'elles formulent lorsque tu es au bord de la mort. Et leur rire... Leur rire n'est pas un son clair ou bien agréable non. C'est un rire ou se cache le cri d'âmes agonisantes et terrifiés , qui ne veulent qu'être libres. Elles te plongent dans un désespoir absolut pendant que tu agonises... Giyū acheva son récit et lança un regard froid a toute l'assemblée, captivée par son récit.

ℕ𝕠𝕓𝕠𝕕𝕪 𝕙𝕒𝕥𝕖 𝕞𝕖Où les histoires vivent. Découvrez maintenant