La fumée avançait et la pluie s'arrêtait.
La mélodie de l'incendie ne fait que jouer l'humanité.
Quant à la douleur dans la douceur de ses cieux,
Elle s'embrasait elle-même tel un être dispensieux.Les ravagées, puis les crieurs et les criants,
N'ont qu'à souffrir, étant sûr de leur valeur auto-proclamé.
L'indécelable chaîne claire n'apparait aux suppliants,
Les lâches lâchent leurs pleurs tandis que les ivres se livrent.Oh, toi, être maladif, de ta voix éternelle,
Dis leur que l'extérieur n'est qu'à toi.
Dis leur qu'ils continuent avec leurs cocktails,
Qu'ils perdent la raison, ces êtres maladroits.Ju - 14 décembre 2023
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Quand les fleurs se fanent
PoésieDans ce recueil de poèmes, j'explore l'art des rimes tout en tissant des récits qui parcourent toute la gamme des émotions. Les pages de ce livre dévoilent des histoires, tantôt empreintes de joie éclatante, tantôt empreintes de mélancolie profonde...