Passer une soirée avec des potes,
Rire d'une situation en sachant que c'est de sa faute,
Se plaindre quand il fait chaud,
Être énervé quand il fait beau,
Boire des litres d'alcools sans se soucier du lendemain,
Et regretter le lendemain à cause de cette migraine dès le matin, ce qui ne t'empêchera pas de recommencer demain !
Faire se voyage dont tu as toujours rêvé avec ta copine,
Et cet ami énervé à cause de ton absence qui le comprime.
Cette envie de grandir et de prendre ton envole qui t'obstine,
Un jour voyager, manger, rire et pleurer à ses côtés, un vouloir qui te fascine.
Cette passion qui te façonne.
Ce besoin de rugir en toi qui raisonne !
Ce travail qui t'isole !
Cette rage qui t'anime,
Cette raison qui te ramène,
Cette pression sociale qui te harcèle.
Cette rupture avec cette fille que tu appelais ton amour,
Ah si, si, souviens toi cette fille avec qui tu disais te marier un jour.
La découverte du deuil,
Les frissons suite au contacte de la peau avec les feuilles.
L'arrivée de la conscience de la mort,
Un nouveau stresse, du coup, débloqué à ton triste sort.
La perte d'être cher autour de toi,
A croire que la vie à un compte à rendre avec toi.
La douleur de la perte, sûrement dû au refus de l'admettre.
Cette création inconsciente d'une carapace servant à te protéger.
Tu n'y peux rien, vu tout ce que tu as traversé.
Et ne t'inquiète pas, ce n'est pas un souci vu que c'est une généralité.
Bref... C'est ça vivre.
Vivre est une émotion, et émotion, qui elle serait un ensemble d'elle-même.
Je pense que vivre est l'acceptation, justement de cet ensemble d'émotion.
Vivre est une idéologie, une philosophie, une pratique constante de ce qu'elle représente, justement la vie.
Je pense que vivre est un ensemble de moment, et non pas de période.
Et cet ensemble de moment justement, crée la période.
La vie quant à elle, je pense qu'elle n'a pas de fin.
Car la mort est une continuité et constituante de celle-ci, et non sa fin.
Je le dis, car sans la mort il n'y aurait pas de vie.
Par la même occasion je tiens aussi à rajouter ceci, même si ça devient un peu long ce n'est pas un souci.
Vivre est un signe d'humanisme,
Il représente parallèlement l'optimisme, l'acceptation du cadeau qu'est la vie.
Pardon c'est vrai que je m'éternise.
Je pense que nous ne vivons pas à chaque instant,
Non pas à cause de ce stresse constant, mais plutôt lors de ces moments vides.
A ne pas confondre avec le temps de l'ennuie, qui lui, fait partie du fait de vivre.
Ce que j'entends par « moments vides », c'est l'instant où justement tu es vide.
Cet instant où l'on peut dire que tes émotions se paralysent.
Cet instant où tu te déshumanises.
Car comme je l'ai dit, vivre est émotion, et émotion est humanisme.
En gros c'est comme si l'espace d'un moment tu deviens un robot !
Ah, excuses-moi, c'est vrai que je m'éloigne un petit peu de mes dires finaux.
Ce que je voulais dire par là c'est qu'il faut donc savoir vivre.
Si pour toi tes moyens de vivre sont de manger, jouer, travailler, étudier, regarder la télévision et j'en passe... Bah alors, vas-y !
Vas-y vis !
Créés toi des souvenir !
Remplis toi d'émotion au point de n'en plus dormir !
Respire comme si c'était ton dernier soupir !
Rêve et jouis de ton avenir !
Aime au point d'en mourir !
Sors de ta bulle et vas te faire des amis !
Embrasse chaque instant de celle-ci qu'elle soit bonne ou mauvaise au point de n'en plus finir !
Savoure le vécu et apprécies ton futur...
Sois curieux, poses toi des questions, demandes toi comment ils font pour être heureux.
Mais attention, fais attention, je ne t'ai pas dit d'être comme eux.
Sois courageux, sois audacieux, mais ne te brûle pas les ailes autour du feu.
Sois la meilleure version de toi-même, car je pense que c'est la meilleure façon d'être soi-même.
Embrasses tes peurs et essayes de les comprendre au lieu de les traiter d'erreurs et de terreurs.
Sois l'empereur de ton existence, le commandant de tes médisances.
Pleure, pleure de joie, de peine, de haine...
Sens et ressens pleinement...
Mords tes instants d'hystéries, marques ta vie de tes sourires.
Sois imparfait, car c'est ce qui te rends parfait.
Il n'y a pas de vivre incroyable ou pitoyable... Il n'y a que des Hommes qui donnent des teintes incroyables ou pitoyables à leur vivre neutre.
Vivre n'est pas une épreuve mais un choix, et dès l'instant où tu choisis de choisir le choix, il devient plus dur et peut être même moins sûr. Pourquoi ? Bah ça je ne sais pas je l'ai lu dans un livre. Et je dis « Il » depuis le début car on dit « un vivre ».
Vivre est la seule chose que tu puisses faire sans te gêner... Quoique les meurtriers existent aussi j'ai failli l'oublier.
Mais tout de même, je pense que tu ne devrais pas avoir peur de vivre, car c'est le talent inné de tout Homme physiquement et intérieurement né. La preuve, tu as lu ou écouté jusqu'ici. Ce qui veut dire que tu as vécu indirectement un moment avec moi, ou devrais-je dire, avec mon livre, qui lui représenterait une parcelle de mon vivre. Donc, en gros, on a entrevécu un moment de... Comment tu décrirais ce moment tien ? Je vais faire mine de t'avoir entendu, promis !
Il est assez long ce chapitre hein ? Enfin bref... Je te souhaite de vivre, vivre, vivre, et vivre... Et saches que je t'aime.
Bon je pense que j'ai terminé d'alimenter mon feu...
Je pense donc qu'il est temps pour moi de quitter, et d'aller vivre un peu.
Karen Anders.
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Vision Royale
PoetryDans ce livre intitulé "Vision Royale", il vous sera donné de voir ma perception, des différentes émotions que pourrait ressentir le genre humain. Ma vision du monde, une vision royale.