Ennemis: C'est n'est pas qu'un devoir, C'est la guerre( Pause Temporaire)

Est-ce bien toi Amy ?

          La manière dont le vendeur avait blêmi à la vue du nouvel arrivant, donnait l'impression qu'il venait de voir un fantôme. Cependant, bien décider à obtenir une réponse, Kaizen lui fusillait sévèrement du regard en reposant sa question adressée cette fois-ci à la foule.

Kaïzen :Est-ce que vous êtes tous devenus sourd ? Je viens de poser une question et j'aimerais entendre une réponse au plus vite, à moins que vous souhaitiez me mettre en rogne.

          Le ton qu'il venait d'employer était si impérieux, qu'il fit trembler peur certains enfants qui partirent se réfugier derrière le dos de leurs parents tout aussi effrayés qu'eux, alors qu'il était dos à nous. Ce fut finalement un habitant de petite taille qui prit son courage à deux mains pour s'avancer et prendre la parole, en réfléchissant au bon mot qu'il devrait dire.

Habitant : Euh... En fait, Gustave accuse cette fille à terre d'avoir détruit sa marchandise et s'apprêtait à la frapper, avant que cette belle dame ici présente ne puisse s'interposer en bloquant le coup de son coude pour prendre sa défense.

          Dit-il en émettant le fait qu'il avait failli me frapper aussi, à croire que tous les habitants de cette meute s'entraidaient pour éviter toute mauvaise représaille avec .

Kaïzen : Dis-moi toute la vérité, car je sais qu'il manque une partie dans ton récit, sinon je me l'aurais pas trouvé sur le point de frapper cette fille.

          Déclare ce dernier d'un ton sec en reportant son regard sur moi pendant un bref instant, puis sur le vendeur terrorisé. Cet habitant gloussa de nervosité sans savoir quoi répondre à cette demande, mais fut sauver par ce fameux Gustave qui prit la parole.

Vendeur : L...La frapper ? Mais bien sur que non voyant, je voulais juste lui retirer une petite feuille qui se trouvait sur ses cheveux voyez-vous. N'est-ce pas vrai tout le monde ?

          Avait-il avoué en adressant des regards de détresse à la foule qui hésitait entre mentir à leur alpha ou dire la vérité.

Kaïzen : ah bon ? Vous êtes sur de ce que vous dites .

Vendeur : très certainement !

          S'exclame-t-il en hochant vigoureusement de la tête.

Kaïzen : Alors, vous n'en voyez aucun inconvénient que je pose cette question aux accusées ?

Vendeur : Non, bien sûr que non ! Ne vous tracassez pas de les déranger, même après avoir obtenu la réponse que vous souhaitez.

          Dit-il soudainement inquiet, vu le visage crisper qu'il arborât.

Kaïzen : Je le sais très bien, mais j'aimerais aussi entendre leur version de l'histoire.

          En disant ça, il reporte son attention sur nous, du moins, plus précisément sur moi en s'apprêtant à parler avant d'être interrompu dans sa lancer par cette même jeune fille qui se mit entre nous.

Jeune fille : C... Ce n'est pas de sa faute, je suis la seule personne en faute donc punissez-moi à sa place, je vous prie. Elle n'a rien fait de mal en voulant juste prendre ma défense, je suis la seule à blâmer dans tout ce vacarme.

          Kaïzen la toise longuement du regard pour tenter de lire en elle, alors que celle-ci se retenait de ne pas fondre en larmes malgré ses tremblements et cela semblait réjouir Gustave qui rajouta avec plus d'ardeur