À Alice,
À terre où trépignent les rois et les larbins,
Le temps prend son envol et libère sa bulle,
Ses ondes submergent les vifs et les lambins,
Leurs cris, leurs pleurs, le stress, en remous déambulent.Alors qu'autour de nous, la foule est dans son bain,
Nos deux souffles sont courts et nos sens affabulent
C'est un instant précieux noyé dans l'âtre urbain,
Nos lèvres s'étreignent, accourent nos globules.
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La Courbe du Deuil
PoesíaChaque semaine un nouveau poème. @_PrinceRouge_ sur Instagram 😊 Mes poèmes contiennent mon Mal-Etre du 21ème siècle en suivant "La Courbe du Deuil" *** De la beauté du monde et de l'Insouciance à la Mort, en passant par l'Espoir, la Peur, la Rancoe...