𝕭𝖆𝖐𝖚𝖌𝖔 𝖔𝖗 𝕯𝖊𝖐𝖚 ?𝓜𝓸𝓾𝓻𝓲𝓻 𝓹𝓸𝓾𝓻 𝓵'𝓪𝓶𝓸𝓾𝓻

𝕮𝖍𝖆𝖕𝖎𝖙𝖗𝖊 48

Je pense que vous avez sans doute remarquer je ne poste plus aussi régulièrement que d'habitude car je n'arrive plus à m'organiser, j'ai l'impression que je me répète et c'est horrible car je me sens honteuse de revenir comme une fleure après de nombreuses promesses que je vous ai faites.

J'essaie de trouver constamment un moyens d'avancer sur cette histoire en y mettant toute ma sincère attention mais quand je n'ai pas la volonté, je n'y arrive pas alors je ne peux pas me forcer et ça c'est plus fort que moi alors j'en suis désolé.

J'ai fini par réfléchir et à penser à une solution, j'ai donc pris la décision de vouloir posté un chapitre tout les samedi entre 16 heures et 20 heures. Si cela vous déplaît, n'hésitez pas à me donner votre avis et à me donner une autre date fixe qui vous parait plus préférable car je ne fonctionne que par vous et ça m'aiderai beaucoup au passage !

Bref, tout ça pour dire que je m'excuse pour la énième fois et que je ferais tout dans mon possible pour cela s'arrange mais je ne peux plus rien vous promettre.

N'oubliez pas de votez et/ou de commentez si le chapitre vous plaît.

Sur ceux, bonne lecture <3 !

Point de vue Bakugo

Honnêtement, je ne sais pas vraiment ce qu'il m'a pris de l'attraper mais maintenant, c'est trop tard pour retourner dans le passé, j'avale alors durement ma salive avant de plonger mon regard dans ses yeux dures et énervés.

Bakugo: C'était qui ?

C'est une évidence, si je dis ça, c'est simplement pour pouvoir entamé une discussion, et non pas pour savoir qui était ce bouffon à l'accroche puisque j'en suis déjà secrètement au courant.

Zina: Quelqu'un. Elle reste froide et distante, d'un coup sec, elle retire son bras de mon emprise et me tourne le dos.

Très irrité par cette action, je ne perd pas de temps pour la ré-attrapée par les cheveux et de la faire basculer en arrière, assez pour qu'elle cogne son crâne contre mon torse.

Bakugo: Tu joue encore à la menteuse ? Grognais-je rauquement.

Je la sens tremblée sous mes doigts, à la vue de seulement quelques alcoolique & personnes complétement ailleurs à l'entré de la salle de cette maudite cérémonie. Ma main, toujours mêlée dans ses cheveux, je la force à me regarder dans les yeux pour qu'elle comprenne bien que le supérieur ici, c'est moi.

Je répète ma question, avec beaucoup plus de fermeté.

Bakugo: Dis moi, qui était-ce ?

Zina: Lâche moi. Me fixe t-elle, d'un regard menaçant.

Je tire d'avantage sur sa chevelure.

Bakugo: Me pousse pas à ne pas te laisser y retourner.

Elle ne bouge pas d'un poil, mais n'a pas l'air de vouloir me répondre sans me faire chier, le jeu auquel elle joue ne me plait pas et ne fait que m'impatienter. Après avoir espionné son coup de fil, je ne peux comprendre que ce connard parlait encore de moi, étant donné que je n'ai plus eue de discussion avec lui après l'accident, je ne peux que demander à en savoir plus.