𝕭𝖆𝖐𝖚𝖌𝖔 𝖔𝖗 𝕯𝖊𝖐𝖚 ?𝓜𝓸𝓾𝓻𝓲𝓻 𝓹𝓸𝓾𝓻 𝓵'𝓪𝓶𝓸𝓾𝓻

𝕮𝖍𝖆𝖕𝖎𝖙𝖗𝖊 32

Point de vue Bakugo

Ils finissent par transporter la brune pour la ramener à l'infirmerie, celle-ci est toujours consciente mais elle n'a plus la force de communiquer, les battements de son cœur sont lents et inquiète beaucoup les professionnels autour d'elle.

L'un des professeurs me questionne et me demande si je suis en état d'aller en cours.

Sachant que je n'ai plus de chemise et que le bas de mes vêtements est complètement imbibé d'eau tiède, j'ignore vraiment si sa question est une grosse blague.

Je lui réponds donc que j'irai joindre ma classe dans l'après-midi car j'ai besoin de me laver et de me remettre de mes esprit.

Il me donne donc les clés de l'internat et je commence à descendre les escaliers seul.

Chaque pas de plus font résonner ma tête, une horrible douleur m'assomme à moitié mais je tiens.

Je continue d'avancer malgré cette souffrance jusqu'à arriver au rez-de-chaussée.

Je me tiens à la rambarde et ne fais pas attention au autres personnes présente dans ces putain d'escaliers beaucoup trop grand pour moi.

Une fois descendu, j'essaie de réveiller mes articulations mais cela ne fais qu'empirer mon cas, une bonne douche chaude pourrai m'apporter beaucoup plus de bien être.

Je sort du lycée, un énorme courant d'air tabasse ma peau humide et redresse les poils de mes bras, nous sommes à mi- août et les arbres ont l'entièreté de leurs feuillages.

Après quelques longue et affreuse minutes, je fini par arrivée face aux portes de l'internat, j'entre la clé et déverrouille la porte pour pouvoir me laisser entrer.

Sans me poser plus de questions, je me dirige tout droit vers ma chambre à grand pas. Une fois à l'intérieur, plus rien ne peux me faire du mal, je me sens apaisé.

Je m'installe sur ma chaise de bureau car elle était la première chose sur laquelle je pouvais m'assoir et me reposer. Ma tête tourne mais mon état s'améliore au fil des minutes qui passent et je commence a le ressentir.

Les membres inférieurs de mon corps tremblent sans même cesser une seule et petite secondes. Je me sens horriblement mal dans mes vêtement car ils me serrent la peau.

Ma chemise enrouler sauvagement dans mes mains, mon pantalon collé contre ma chaise en matière cuivrée, je n'ai qu'une envie, c'est d'une bonne douche mais je ne trouve pas la force ni l'énergie requise pour pouvoir le faire de suite.

La tête affalé sur mon bureau, le goût de ses lèvres me revient en bouche, rien que d'y repenser, les battements de mon cœur rends mon corps très ambiant.

Je redresse ma tête pour voir le contenu de ma table et attrape une boîte de paracétamol déjà entamé et l'avale sans même prendre la peine de prendre un verre d'eau car ce n'est pas ce que j'avais sous la main.

Je reste dans la même postion durant une bonne quinzaine de minutes jusqu'à ce que mon corps ne puisse plus de cette place qui n'est déjà pas très à l'aise pour moi.

Je fini par me lever avec un peu plus d'entrain et me munis de produits hygiéniques ainsi que de vêtements propre et sec. Mes pas encore hésitant anime le son des couloirs de l'internat, une fois arrivé au douches communes, je prends une cabine au hasard car elles sont toute vides.