𝕭𝖆𝖐𝖚𝖌𝖔 𝖔𝖗 𝕯𝖊𝖐𝖚 ?𝓜𝓸𝓾𝓻𝓲𝓻 𝓹𝓸𝓾𝓻 𝓵'𝓪𝓶𝓸𝓾𝓻

𝕮𝖍𝖆𝖕𝖎𝖙𝖗𝖊 52

Salut, j'espère que vous allez bien depuis le temps, cette fois-ci j'avoue avoir un peu abusé et je m'en excuse vraiment, je n'ai pas vraiment les mots pour m'exprimer alors j'espère que ce chapitre m'aidera à me faire pardonner tout en priant qu'il sera à la hauteur de vos attentes après 6 mois de désert.

Sachiez seulement que je ne vous ai pas abandonnée ni vous ni cette fanfiction car j'ai eue la chance d'avoir été fortement encouragé que ce soit ici ou sur ig et je vous en remercie tous infiniment.
Je pense que j'ai déjà assez de retard sur cette histoire alors je me tais.

N'oubliez pas de commentez et/ ou de votez si le chapitre vous plaît ♡︎

Point de vue Bakugo

Mon sommeil est perturbé par une chaleur inconnue sur mon front, un touché étrange sur les poils de mon sourcil gauche, j'ouvre péniblement les yeux par peur d'halluciné et à première vue, sans bouger, personne. Pensant devenir fou, je me rendors.

???: Pardon... Entendais-je finement au sein de mon ouïe engourdie.

J'ouvre mes yeux une seconde fois avec cette fois-ci, la certitude de ne plus être seul.
       Lorsque je tourne ma tête, j'aperçois Todoroki, accroupis face à moi, sur une marche inférieure. Le coeur palpitant de terreur, je me redresse.

Non mais c'est du délire de regarder quelqu'un dormir !

D'une voix rauque et brisé, je met ma main sur le visage en disant.

Bakugo: Putain... T'es là depuis combien de temps ?

Zina: Peu.

Bakugo: Sale folle...

Zina: Vue la situation, je ne suis pas sûre que ce soit moi la folle...

Je m'essuie les yeux et m'étire, j'ai mal.

J'expire lourdement en fermant les yeux durant plusieurs secondes.

Bakugo: Fous moi la paix.

Zina: Tu comptes rester ici ?

Bakugo: Tu me prends pour qui ? Je me suis juste endormi ... Dis-je les dents serrés, plongeant mon visage entre mes mains.

Zina: Qu'est-ce que tu fous ici ?

Bakugo: Je- Ma colère monte en flèche mais la fatigue me gifle. Je sais pas, j'sais plus... Juste dégage, bordel. Soupirais-je d'un souffle lassé.

Elle ne me répond pas, je retire mes mains de mon visage pour la regarder cette fois-ci dans la prunelle de ses yeux, scintillant.

Bakugo: Tu comprends pas quoi ? Bouge ton cul de là !

Zina: Tu as quoi sur toi ?

Bakugo: Huh ?

Zina: Pourquoi tu veux que je pars sans toi ? Tu vas fumer ?

Bakugo: T'es qu'une folle... Je regarde face à moi, réalisant.

Zina: Rép-

J'explose.

Bakugo: Parce que je ne te supporte pas merde ! Je ne veux pas te voir ! Il te faut vraiment une excuse pour ne pas aimer ta sale gueule ?!!

Zina: Oui.

Ma tension redescends immédiatement, cette fille est la cause de mes émotions, c'est fascinant.

Bakugo: Sincèrement ? Pouffais-je narquoisement. Todoroki, sois mignonne, laisse moi.