a l'improviste (Livai X Reader)

2 Mon Destin

Je suis déterminé à prouver de quoi je suis capable. J'ai la boule au ventre quand vois le major du bataillon s'avancer sur l'estrade. Je vois mes camarade de promotion, très peu sont là pour entrain dans le bataillon, la plus part entre dans la garnison et pour les meilleurs les brigades spéciales. Le major s'avance, il a une posture droite et un regard déterminé, simplement à sa posture il prendre la décision de se faire respecter. Tout d'abord il demande à ceux qui ne souhaite pas entré dans le bataillon de partir, soudainement je me rend compte qu'il y en a plus que prévu. il vient ensuite nous présenter le véritable salut de l'armée.

- oh vous êtes tous rester

- c'est fou j'aurais penser que tu te serais pisser dessus Armin par comtre je ne suis pas étonné de voir T/p

- c'était le bataillon ou rien

- tu ne devais pas entré dans les brigades Jean ? Ne me dit pas que le petit discours de T/p t'a touché ahah

- non c'est pas ça ! Et de toute façon qu'est ce que t'en a à foutre !?

- c'est bon Jean tu peux l'assumer, moi même j'ai changer d'avis.

-oh je ne t'avais pas vus Connie. Crysta ? Ymir ? Sasha mais vous vouliez entré dans les brigade spéciales qu'est ce que vous faite la

- il n'y a pas que Connie et Jean qui ont pris à cœur ton discours T/p nous aussi

A ce moment là je me suis rendu compte que ma rébellion avait eu plus d'impact que je ne le penser, au début c'était simplement pour moi même. Mais quelques pars j'avais une certaine fierté d'avoir touché les autres. 
Les jours qui suivent furent assez lourd physiquement, entre les entraînement, et les remise à niveau, je n'avais pas vraiment le temps de souffler. Mais je savais que c'était l'une des conséquences à prendre en compte si je voulais réussir mon objectif. Retrouver celui qui m'a sauver la vie.

- dis moi T/p, on n'a jamais vraiment eu d'infos mais pourquoi tu voulais t'engager au bataillon ?

- mon choix est assez délicat tu sais

- dis moi de toute façon on a 2h avant de remonter vers nos chambres respective raconte moi le jour de l'attaque les titans comment sont t'ils ?

- je ne suis pas là pour l'armée ou le bataillon mais seulement pour retrouver quelqu'un

Il semble assez intrigué par ma réflexion de penser, je sais très bien que dans sa façon de me regarder il me tiens à la gorge pour poursuivre ma phrase. Mais se soir la quelque chose m'empêchait d'en parlait, s'était comme si une emprise m'avait pris au dépourvu. Je lâche ma cuillère, met ma main sur ma bouche, je ne peux sortir un mot. Au début je suis pose qu'il a crus que cette conversation me rappeller de mauvais souvenir, mais avec de la réflexion il a très vite compris que c'était seulement pour que je n'es pas à parler de ça. Il changea assez vite de discussion en me fessant croire qu'il pensait que je m'était mordu la langue, mais au fond je savais qu'il avait juste pris cette excuse au dépourvu. Et il le savais très bien qu'il ne pourrait pas me le cacher car je l'avais sentit bien avant qu'il ouvre la bouche.
Ce soir la je ne trouvais pas le sommeil c'était comme si la fatigue m'avait éviter en passant. J'ai finis par ouvrir la fenêtre pour comtempler le ciel et les étoiles qui s'y trouvaient, ce soir la, elle brillait plus que les autres soirs, c'était comme si on leurs avait rajouté de la lumière ne serait-ce l'espace d'un instant. Au bas de ma fenêtre j'observe les premiers flocons de neige tomber sur le sol beaucoup trop faible pour tenir en neige. Je me penche. J'aime la sensation des flocons froid tomber sur mon visages. Je sors, je m'allonge, et surtout je respire. Il fait froid et cela me brûle les mains car par mes garde j'ai oublier mes gants poser sur la chaise de mon bureau. Mais au final cette sensation de brûlure me plaît car elle me fait sentir vivante et puis c'etait comme si pour la première fois le soleil effleuré ma peau, pourtant je savais qu'un jours cette sensation ne sera plus là. Je ne sais pas l'heure qu'il est je m'oriente au soleil qui se lève surtout vers les cinq heures du matin le soleil se lève plus tôt en hiver. Je ne sais pas combien de temps je suis restait là ni le nombre d'heure passer à comtempler le ciel qui laisse tomber ses flocons comme la pluie qui tombait au ralentit. Mais mon petit doigt me dit que je suis restait assez longtemps pour que mes vêtement soit entièrement trempés. Je ferme les yeux, mais je ne me rend pas compte du temps que je l'es ferme, assez pour m'endormir jusqu'à perdre connaissance. Et je me retrouve la seule allonger sur le sol la neige qui tombe sur mon visage déjà trempé par les flocons précédents. Quand je me réveille le flou me prend dans les yeux mais aussi dans la poitrine, j'ai l'impression que mon cœur bat dans le vide. J'ai cette lumière aveuglante dans les yeux mais quelques part elle me fait reprendre mes esprits. J'ai chaud, comment ai-je pu passer d'un froid glacial à une pièce si brûlante, je suis dans un lit mais j'ai des picotement dans tout mes membres comme si je n'avais pas bouger depuis des années mais pourtant je n'es pas l'impression d'être partis si loin dans le futur en fermant simplement mes yeux. Très rapidement je cherche à me levais mais je sens que quelque chose tombe légèrement de mon front, c'est une serviette mouillé d'eau chaude, quand le reflex de me toucher le front me viens je sens cette chaleur m'envahir dans toute la mains, mon front est brûlant. Je me rallonge pour fermé les yeux une nouvel fois, cette chaleur et si puissante qu'elle me fait garder la somnolance qui m'a pris depuis mon réveil. Mais pourtant je n'es aucune envie de me réveiller ou de bouger, c'est comme si mon corps éteint anesthésier mais pour autant je ne dors pas, je reste simplement éveillé allonger.