a l'improviste (Livai X Reader)

10 Redemption

J'ai reçu une lettre, quand on m'a annoncé que celle si venait de mon entraineur de la caserne d'entraînement. J'ai accouru tout de suite pour la récupérer. Je ne l'avais pas revue depuis deux ou trois mois peut être. Il devait sûrement être inquiet pour moi.

Ma très cher T/p

Les jours passent sans aucun visite de ta part. tu n'avais toi non plus échappé à la mort. Pour cela que je tenais à te dédier cette lettre.On m'a parlé de tes exploit. Je vois que ma T/p ne changera jamais. On m'a aussi fait parvenir que ma veste t'allais comme un gant. Je suis heureux de savoir que tu l'a porter encore. Par ailleurs, T/p, je dois aussi te parvenir par cette lettre mais remerciement les plus sincère. Tu m'as ouvert les yeux sur beaucoup de choses. Tu m'as appris que regarder les gens dans les yeux comme tu le fais et bien plus important que ce que je croyais. Je suis heureux de savoir que tu t'es t'épanouis pleinement au bataillon. Mon souhait le plus précieux serait que cette lettre puisse te parvenir par le ciel. Que dieux me donne la force de pouvoir remonter le temps et de pouvoir une dernière fois t'enlacer.
Tu me manque.

Ton très cher Entraîneur.

Cette lettre m'avait fait comme un trou dans la poitrine. Comme une dizaine de balle qui était rester encrée en moi. Pas une seconde à perdre. Je pars aller le voir. Je m'empresse d'y informé le major avant de passer la porte de sortir.

- T/p

- oui major un problème ? Faite vite s'il vous plaît

- eum tu compte réellement y allait vêtu de cette façon

Pendant une demi seconde je baisse les yeux et je me rend compte que je suis toujours en pyjama hello kitty et en pantoufle. Je rougis de gêne

- oups... merci major

- tu devrais mettres ta robe beige longue avec la fente sur ta cuisse gauche elle te va à ravir !

- j'y tiens conseil major

Ni une ni deux je remonte encore ces escaliers maudits avant d'aller me changer. Effectivement ma robe beige était bien là dedans. Je m'empressai de l'enfiler quand quelqu'un toque à ma porte. Décidément le monde ne veut pas me voir partir.

- quoi encore !?

- oula ma T/p est enragé ont dirai se matin

- oh hanji.. Désolé mais je suis vraiment pressé !

- je suis simplement venue te donner ça

- un.. Bouquet de.. Lilas blanc.. De qui est ?

- je ne sais pas je l'es trouvais derrière ma porte et il t'etait destiné. Dis moi c'est pas la première fois que tu reçois se genre de bouquet ? Le premier venait de Livai non ?

- c'est exact et je reconnais bien la ça manière de disposé les fleurs, bon écoute je règle ça se soir d'accord !? À plus tard

Je l'embrasse sur la joue avant de repartir de plus belle en courant dans LES ESCALIERS. Pas une seconde à perdre de plus. J'interpelle une calèche pour m'amener a la caserne.

- mademoiselle je passe bien par la caserne mais je suis complet

- prenez moi sur le côté conducteur

- euh et bien euh vous êtes sur ?

- certaine. Poussez vous un peu la vous prenez tout le banc

Quel culot. C'est moi qui m'incruste et j'ose lui reprocher de prendre trop de place...bon heureusement j'arrive assez vite sur place. Je temps une liasse de 20 euro au chauffeur avant de descendre.