L'éducation commence

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Francesca:

Je me réveil avec un énorme mal de crâne et mal aux côtes, je regarde partout comprenant ce qu'il se passe, je sursaute quand je vois l'homme à côté de moi.

Je me lève doucement du lit mais je tombe directement avec la douleur, je suis à genoux tenant mes côtés ayant de plus en plus de mal à respirer.

Je le vois se lever rapidement avec une arme pointant sur moi.

Lève toi ! hurle t'il s'avançant alors vers moi, je reste dans la même position, respirant plus vite.

Lève toi ! Maintenant ! S'approchant au dessus de moi, il essaye alors de me levé de force mais j'espère retombe rapidement.

Tu ai faible ! Une putain de faible ! Où est ta force que tu as eu pour me fixer de ta voiture ! Hein ? Il me pousse alors pour que je tombe couché sur le dos, puis se met à califourchon sur moi.

Lève ton haut.. dit il avec une voix qui me fait peur, pourtant je ne bouge pas et tourne ma tête à gauche, je sens alors quelque chose de froid contre ma joue, je tourne la tête car il le force.

Il me fixe méchamment, puis fait glisser son arme jusqu'à mon front, un sourire en coin, je commence alors à trembler.

Je commence suffoquer, ma vision se trouble j'entends quelque chose tomber à terre puis l'homme place contre son buste, de façon à ce que mon oreille droite soit au niveau de son cœur.

Putain espèce d' abruti de conne ! Tu me fais le coup de la crise d'angoisse hurle t'il Bon.. place ta respiration sur la mienne, puis après d'avoir dit ça il place ses doigts sous mon poignet pour avoir mon pouls

Il me faut pas loin de 5 minutes pour réussir à me calmer, il me lâche alors mon poignet et me porte me couchant sur le lit.

Il relève mon haut mais je ne bouge pas, il s'arrête sous ma poitrine pour ne pas la dénuder, derrière l'homme froid il semble avoir des principes

Il fixe alors mon ventre et commence à toucher un peu partout puis arrivant vers les côtes puis je ferme les yeux en sursautant et laisse des larme couler

Tu as sûrement des cotes exposées , touche t'il encore, c'est alors que je sens qu'avec son pouce il m'essuie les larmes.

Tu va te reposer aujourd'hui, tu restera dans le lit et si tu essaye de te lever alors je te promet de te le faire regretter dis t'il en sortant de la chambre et de la fermer

Diablo:

Je sais qu'on fond de moi qu'elle n'écoutera rien et essayera de s'enfuir pensant sûrement trop fort car mon frère sourit en coin croisant ses bras en me regardant.

Alors elle n'obéit toujours pas ? Dit mon frère Non Toujours aussi insolante levant alors les épaule.

Tu sais ce qu'il te reste à faire , il descend les escaliers en sortant de la maison, il remet sa tête rapidement Je pars tu devais normalement venir mais je prendrais mes hommes avec moi, je secoue la tête positivement

Je descend préparer à manger , ici on mange rarement de la merde, j'ai un régime à tenir.

Francesca:

Je me relève avec beaucoup de mal je tiens mes côtes avec mon bras gauche et j'ouvre la porte tout doucement, je descends les escaliers en serrant les dents, les larmes qui coulent. Arrive en bas je me dirige vers une grande porte sûrement la porte d'entrée.

Elle n'est pas fermée dis-je en chuchotant, soufflant d'être presque que le point de partir. J'ouvre la porte, et sors mais à peine mis un pieds dehors sur je vois un groupe de 5 hommes approcher de moi.

Cinq hispaniques dont un qui est beaucoup plus grand, tatoué de partout, il ressemble étrangement à Diablo. Il tient une batte s'amusant avec, ce qui me fais sursauter.

L'homme: Et bien ma jolie... me fixant on n'obéit pas aux ordres et en plus on tente de s'enfuir..?

Je...je.. n'osant rien dire en baissant la tête

Tu.. tu ? Arquant alors un sourcil Tu ne sais pas parler..? Où tu as peur de moi ? On m'avait pourtant dit que tu avait eu assez de couilles , oh non excuse moi d'ovaires pour regarder dans les yeux ! Mettant alors un coup de batte dans le genoux

J'entends du bruit derrière moi , je retourne la tête et je vois Diablo s'adosser sur le mur me fixant avec un regard désolé mais froid. Il sort son portable et pianote rapidement dessus.

El Terror :
Je reçois alors un message, je sors mon portable et le regarde [punit là mais je la tue pas, elle peut être utile j'ai eu des renseignements sur elle]

Je hoche la tête en direction de mon frère. Vous ! regardant les hommes autour de moi, vous êtes libre jusqu'à ce soir, dégagez !

Diablo ! Tiens la.. On va te faire obéir ma Jolie crachais à Francesca.

Je vois alors Diablo la maintenant en lui bloquant les bras dans le dos. Elle grimace et pleure. Il me fait signe de ne pas taper son vente avec sa main gauche avant de la retenir correctement.

Je lache la batte au sol, je ferais sûrement trop de dégât sur son corps bien trop faible deja pensais je..

Je m'approche d'elle et lui met un coup une grosse claque puis recommence cet acte plusieurs fois, elle crit de douleur,

Je vais faire ce que je préfère faire à mes victimes riant mettant alors ma main sur sa gorge en appuyant plusieurs fois assez longtemps sur sa trachée et arrête à chaque fois quand je vois qu'elle va nous lâcher.

Je vois alors que ses jambes lache mes Diablo là retient.

Ca sera tout pour aujourd'hui tu est bien trop faible, va la mettre dans ton lit hermano, La prochaine fois je te promet que j'entendrais des bruits d'os sous les coups ou alors passant ma langues sur mes lèvres je te baiserais comme jamais j'ai baiser une chienne !

A la prochaine ma jolie , retournant alors vers ma voiture

Diablo:

Je la porte contre moi et va la reposer dans ma chambre, je vais en direction de l'armoire dans la chambre de mon frère et sors une seringue, me dirigeant vers ma chambre.

Je monte sur le lit me mettant en califourchon sur Francesca mon avant bras sur sa gorge pour la bloquer.

Tu en a trop fais pour aujourd'hui, maintenant c'est l'heure de te reposer. La regardant froidement, la piquant alors avec la seringue.

Douce nuit ,Jolie cœur Attendant quelques minutes pour que son corps lache.


[ il y aura sûrement des fautes , je ferais la relecture plus tard 🙈]

Trop tard Mi Amor !Où les histoires vivent. Découvrez maintenant