Trop tard Mi Amor !

Une triple correction !

Leonardo passait plus de temps que prévu pour la soigner, je ne la lâchait pas d'un regard, elle était là inconsciente si faible et en même temps si forte.

- Tu peux te reposer tu sais ? Dit Lorenzo en me regardant

- Pas tant que je ne serais pas sur qu'elle aille bien. Dis-je en soufflant

- Ce sont de belles blessures mais je t'assure qu'elle n'a rien de grave , elle s'en remettra dit Leonardo

- Mais sont corps n'arrivera pas toujours à s'en remettre, c'est facile de dire cela à chaque fois.. de plus je pense déjà à son mental. Elle a peur des hommes qu'elle ne connaît pas.

- Alors elle a pas besoin d'en connaître d'autres surtout connaissant Vlad il n'est pas trop partageur rigole Lorenzo

- Elle a 17 ans , à cet âge là on s'amuse un minimum et on fait des études , c'est pas parce que vous êtes riches que le cerveau doit rester sans sagesse , de plus ce n'est pas son argent mais celui de Vlad.

- Il en a sûrement assez pour qu'elle puisse vivre ses rêves cinquante fois. Ajoute Lorenzo

Je soupire longuement lui lançant un regard noir.

- Doucement mon amis ne me regarde pas comme si tu avais envie de m'abattre là tous de suite ! Me regardant lâchant un rictus au coins de ses lèvres, touchant son arme avec le bout de ses doigts.

Je me lève en soufflant et par de la pièce , cela pourrait bien partir en scène sanglante dans pas si longtemps si je ne vais pas me calmer. Il me retient pas l'épaule pour me retourner.

- Calme toi , détends toi , elle est là et ce ne sont justes des blessures extérieures qu'elle présente me dit Lorenzo

- Ok ! Rappelle moi de te dire ça si la tienne revient dans cet état mon amis ! Parce que je te le sortirais en pleine face quand tu sera inquiet !

Je le retire violemment de son emprise descendant les escaliers, me dirigeant vers le sous sol, je rentre dans une cellule où sont les hommes qui ont trahis ma confiance de Vlad, j'en traîne un au sol, je me met à califourchon sur lui commençant à lui donner des coups de poings.

J'entends un bruit derrière moi mais je ne me retourne pas, je continue de me venger sur son corps, le sang gicle de partout, en réalité je ne sais pas depuis combien de temps que je le frappe mais sa tête ne ressemble plus à grand chose.

Je frappe encore jusqu'à sentir le sol sous mes phalanges, plus rien ne semble pouvoir m'arrêter même la raison , mes les grondements que j'entends derrière moi.

Je sens un pression sur mes épaules , puis on me traîne en dehors de cette cellule qui pu le sang et la mort. On me cale contre le mur en face de celle-ci.
Je le vois alors s'assoir devant moi , et me passe sur serviette sur le visage et de l'eau coule sur mes mains.

Et si c'était ça la folie qui allait aussi m'emporter comme son frère et que je deviens dangereux pour l'un d'eux, je m'empare alors de l'arme de Lorenzo qui est accroupi devant moi.

Je me prend plusieurs coups dans la figure, je secoue la tête n'essayant même pas de me protéger.

- Oh ! Claquant ses doigts devant la figure

Je secoue la tête et je retrouve peu à peu mes esprits, je souffle, je regarde Lorenzo dans les yeux, lui n'a pas l'air si apeuré que ça que j'ai son arme entre mes mains.

- Juan donne moi ça avant de faire une connerie que tu regretterais, il passe sa main sur son arme et je n'émet aucune résistance quand il l'a retire.