▼Chapitre 8▼

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A peine qu'on eut franchi la porte de cette affreuse maison on vit ma mère, mon père et ma sœur le visage pâlit par l'inquiétude.

Mam : Vous étiez où ?!
Moi : Courir. dis-je simplement.

Lace : Après la nuit qu'on a passé je n'aurais pas pu croire que tu m'ais quitté.

Dit elle à l'intention de Dylan.
En guise de réponse il l'embrassa lagoursment. Mon père était dégoùter. Et ma mère admirative. Je ne peux m'empecher de rouler des yeux.

Il est tant de prendre le petit déjeuner cria presque ma mère.
Dylan se décola enfin de Lace.

"Étais-je jalouse ? "

On mit la table. On passa à table.
Je jouais avec ma nourriture :
Œux au plats et salami. Quand soudain ma mère m'addressa la parole.

Mam : Tess. Avec ta sœur ton père et moi nous allons faire les préparatifs pour le mariage. Tu veux venir ?

Moi : Plûtot sucer du sang de licorne. Dylan se retennaît de ne pas exploser de rire.

Mam: Bon. Comme tu voudras. Tu devras rester avec Dylan. Dit elle froidement.

Moi: Vous commencez quand ?
Mam : à treize heure et quart.

Débarrasse la table. Me dit mon père. J'exécute ses ordres.

*à 13h17 *

Mam : Aurevoir les enfants !
Mam : Je suis née le 10 juin 1992.

Je referma la porte dérière eux.
Je vais m'sseoir sur le sofa et allumme la télé. Dylan me prit la télécommande des main et éteigna la télé. Avant même que je ne réplique il commença à parler.

Dylan : tu ne devais pas aller faire du shopping ?

Moi : Ah oui ! Tu viens ?
Ses levres s'étirent pour laisser place à un sourir malsain.

-ok. Je vais mettre mes habits.
Emprunte quelque chose à Lace tu ne vas pas aller habiller comme un ours polaire.

Moi : dacord.

Nous allâmes à l'étage et nous nous dirigâmes vers la chambre de Lace. Je pris un crop top et un short déchiré je lui empruntais aussi des lunettes de soleil ronde.

J'alla dans ma chambre et m'habilla j'avais l'air d'avoir 17 ans.

Je descendi et trouva dylan habillé d'un tee-shirt noir avec un bermuda de la même couleur il avait aussi des lunettes de soleil noir. Malgrès que je ne puisse distinguer ses yeux j'ai vu qu'il me dévorais du regard.

Dylan : On y va ?
Moi : allons y ! Dis-je un mode : Dora l'exploratrice.

Il ouvrit la porte. Et je la véroulla dérière moi.

Ensuite il m'ouvrit la porte de sa jeep noir. J'ai l'impression d'être de trop. Avec tout ce noir.

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Salut les patates !
New chapter.
Le chapitre le plus long. YEAH !

CIAO.

the perfect husband (dylan o'brien)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant