vii)

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un matin, je me suis réveillée dans ce lit. une douce lumière emplissait la pièce et réveillait les draps frais. une légère brise faisait voler les rideaux de la fenêtre ouverte. j'étais bien. reposée. j'avais l'impression que tout mon corps souriait. alors j'ai souri. puis j'ai entendu un petit clic à quelques pas de moi. je me suis retournée. c'était félix. mon lumineux félix. son appareil photo à la main. il ne portait qu'un pantalon froissé qui tombait sur ses reins. il était à tomber.
- t'es belle.
j'étais nue devant lui, et la vie ne m'avait jamais parue aussi douce.

étés nusOù les histoires vivent. Découvrez maintenant