L'escouade de secours

Chapitre 13

2 heures après, Nezu et Aizawa ont débarqués comme des sauvages.... 

- Izuku, vous allez bien? demande Nezu. Et qu'est ce que.... ?

- J'aimerais bien le savoir mais cette conne dors comme un loir. je marmonne. Et oui je vais bien.

- La conne elle t'emmerde!!! 

- Ah! Enfin mademoiselle se réveille. Bref, pourquoi vous êtes là?

- Je voulais vous parler des classes auxquelles vous enseignerez et on a appris ce qu'il vous étiez arrivé. Donc on s'est précipité ici. Explique Nezu. Et Aizawa me sert toujours de taxi.

- Ok... Alors allez y, expliquez moi. 

- Vous êtes sur que je ne devrais pas plutôt vous laissez vous reposer? 

- Non vous en faites pas, et puis vous êtes déjà là....

- Bien, vous serez le prof principal de la 1-C, et vous ferez cours aux classes présentes sur cette liste et voila votre emploie du temps. 

Je prends les papiers qu'il me donne et  les lis, Katsumi aussi lis par dessus mon épaule. Je fais cours à pas mal de classes. Ca va être amusant. Pour moi bien sur. 

- Ca m'a l'air bon.

- Très bien, nous allons vous laisser. Reposez vous bien. Au revoir.

- Au revoir. je répond en chœur avec Katsumi. 

Ils partent et un silence gênant s'installe. 

- Alors tu peux m'expliquer le "j'en ai marre d'attendre donc t'es à moi d'accord"? 

- Bah y a pas à expliquer quoi que se soit. On est en couple et tu n'as bien sur pas le choix. 

Je lève un sourire interrogateur. 

- Très bien, donc si je résume. D'après toi je t'aimerais, tu m'aimes aussi et tu me force à sortir avec toi? 

- C'est ça. 

- Super. Dans ce cas pourquoi t'as jamais rien fait?

Elle baisse les yeux de honte et commence à avoir les larmes aux yeux. Mais putain pourquoi je suis si con? Et bordel, j'en ai marre de ce maudit amour puisque ça en est, qui me culpabiliser!!! J'y peut rien moi, j'ai juste besoin de savoir! 

Je finis par la prendre dans mes bras sans m'en rendre compte. 

- Je sais pas pourquoi. Je ... Je suppose que j'avais peur de perdre mes amis... Je suis désolée.

- C'est pas grave, n'en parlons plus.

Elle me rend mon étreinte et je finis par m'endormir.