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Des scènes pourront heurter la sensibilité de certains lecteurs.• maladie
• crime__________
Bonne lecture ⭐️
__________Je monte les escaliers plus long que mon dressing, de cette immense château en me tenant au bras d'Ezio. Arrivés devant l'entrée je fais une pause, essoufflée, et je reprend ma respiration.
— Bonsoir, votre carton d'invitation. Demande un des gardes de façon énervé.
Je cherche dans mon sac à main rose Jacquemus l'invitation, qui m'avait été envoyé pour ce gala. Je tourne la tête vers Ezio en lui faisant les gros yeux. Et je regarde le garde avec mon plus beau sourire.
— Vous connaissez la sortie alors. Bonne soirée. Nous dit le garde avec un sourire insolent
Je descends les marche en vitesse et me dirige vers la voiture. Je tire la poignée plusieurs fois attendant qu'Ezio ouvre enfin la voiture. La voiture ouverte, je fouille la voiture à la recherche de l'invitation, mais, sans succès. Je vérifie une dernière fois dans mon sac à main, en observant que mon gloss rose n'y est pas aussi.
— Ezio. Dis-je en le regardant. Tu m'as donné le mauvais sac à main.
Ezio souffle en s'excusant, je m'assoie dans la voiture cherchant une solution. Même si ce gala me soûle le plus profondément, il est à son avantage, grâce à cette fête, je passe la plus part de mes contrats de l'année, beaucoup de personnes sont invités juste pour passer un contrat avec moi. Et contrat est égal à argent, je n'ai pas besoin de vous expliquer plus en détail.
— Il va jamais vouloir nous laisser passer. Dit Ezio en regardant l'entrée. De un on est en retard et en plus ont a pas l'invitation.
Ça nous apprendra à faire les stars.
J'ouvre la boîte à gants et sort le glock que Ezio garde au cas où. Je cale l'arme entre mon pantalon dans mon dos, histoire de cacher l'arme et sort de la voiture. Accompagné d'Ezio qui rigole en montant les marches rapidement, j'essaye d'arriver en haut sans être essoufflée.
— Nous avons oublié l'invitation. Dis-je essoufflée en regardant le garde désolé. Je m'appelle Ilaria Abaddon, je viens à ce gala depuis trois ans maintenant.
Je les regardes se foutre de ma gueule en rigolant et m'imitant avec la phrase que je viens de dire, de façon exagéré et très sexiste.
Deux balles, deux corps aux sol.
— Tu sais Ilaria des fois il vaut mieux s'exprimer que utiliser la violence. Me dit Ezio de façon philosophique.
Je le regarde exaspérée, et enjambe les corps pour enfin rentrer.
— C'est eux, ils étaient même pas capables de bien m'imiter. Dis-je en l'attendant.
Ezio arrive à côté de moi et me prend la taille pour entrer dans cette immense pièce. Je lève la tête pour regarder les lustres accrocher au plafond tombant comme une pluie de cristal. Je regarde la salle où maintenant tout le monde avait cesser de parler. Tout les regards étaient braqués sur nous, plus en particulier sur l'arme dans ma main.
— Ouhh, avions de chasse à gauche. Me dit Ezio dans un signe de tête.
— Oula oui, alors là cette année c'est la bonne. Dis-je en le poussant.
Je regarde Ezio se diriger vers les filles qui était déjà existé devant son physique, il se retourne une dernière fois pour me faire un clin d'œil.
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𝐋𝐚𝐬 𝐏𝐞𝐨𝐧𝐢́𝐚𝐬
ActionEn plein Manhattan, son regard était fixé sur cette famille. Qui sembler simple pour nous, mais, différent pour elle. Au point d'en faire sa cible. Mais pourquoi ? Elle était tellement concentrée sur leurs faits et gestes. Que même le froid de déce...