𝐋𝐚𝐬 𝐏𝐞𝐨𝐧𝐢́𝐚𝐬

À contre-sens

⚠️TW⚠️
Des scènes pourront heurter la sensibilité de certains lecteurs.

• arme
• violence

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Bonne lecture ⭐️
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Je me tourne vers la personne, et tombe sur le fameux bras droit, Lucas Mendes. De loin, il avait déjà du charme, mais de près encore plus. Il doit mesurer dans les un mètre quatre-vingt, la peau mate comme moi, cheveux brun, yeux marrons clair, sans oublier ses tatouages. Sur l'avant-bras gauche, je devine tatoué, les personnes du Roi Lion et sur le coup en gros, la vierge Marie avec une coupe du monde, maintenant j'en suis sûr, il vient d'Argentine.

— Mmh, nan. Dis-je en croisant mes jambes. Un ami s'en est déjà occupé.

Je le regarde s'avanceraient vers moi en me frôlant, il me fixe du regard quelques secondes puis s'installe à la place d'Éden doucement. Il tend son bras droit pour appeler le barman, me laissant voir un autre tatouage, cette fois, c'était médusa, elle brûle dans les flammes.

Doble vida, oscuro pasado.

— Un perroquet, s'il vous plaît. Demande Lucas avec une voix grave.

Je grimace en entendant le prénom de sa boisson, je déteste le pastis et le sirop de menthe, mais là les deux combinés, ça doit être immonde à boire. Je termine mon verre bruyamment avec ma paille et fait claquer mon verre sur le bar, ce qui fait presque sursauter le barman, qui ce précipite de prendre mon verre, pour me servir un autre diabolo fraise.

— Qu'est-ce que tu veux ? Je demande à Lucas avec un visage sans émotions.

Je souris intérieurement, en le voyant lever les sourcils surpris face à ma question et le ton employé.

— Je comprends pourquoi tu es orpheline. Dit-il de façon insolente en rigolant.

Un immense sourire s'affiche sur mon visage vide d'émotions, le verre à la main je commence à siroter ma boisson en regardant sa position assurée.

— D'habitude mes clients se prosterne. Dis-je le sourire aux lèvres.

Je regarde la salle à la recherche de mes amis, que j'aperçois vite sur une table dans le fond de la pièce. Je fais face à Lucas quand je sens son regard sur moi, qui d'ailleurs avait le regard fixé entre mes sein. C'est vrai qu'avoir un tatouage underboobs ne passe pas inaperçu.

— Je sais même pas pourquoi je suis là. Dit-il en se déconnectant de ma poitrine.

Je ne fais pas attention à lui et continue de surveiller Ezio qui enchaîne les shoots multicolores, entouré par un groupe de fille.

— Et à par baiser tes clients, tu les tues.

C'est quoi c'est rumeurs de merde.

— Tu as passé ton enfance à être harcelé pour te défouler sur moi. Dis-je en le fixant du regard.

C'est fou comment la femme est rabaissé constamment.

— Ce n'est donc pas toi qui a trahit toutes ta famille en la tuant.

C'est donc ça.

Je souris légèrement en comprenant pourquoi Ezio me ment des fois sur les rumeurs qui court dans le milieu de la mafia.

— Tu étais là pour être autant informé. Tu veux peut-être que je m'occupe de ta famille. dis-je avec un sourire en coin.

Je vois le visage de Lucas se tendre de partout, à l'annonce de sa famille et le regarde en souriant.