1. au musée

545 10 2
                                    


-" Benedict " dit Éloïse assis sur une balançoire à côté de la sienne durant le soir. " Comment tu as su? Pour Muse? Comment avais tu su que c'était LA bonne personne." Continu-t-elle.

-" quand tu le sais, tu le sais, tu le sens. Comme si toute ta vie tu avais un vide mais en un sourire, elle m'a rempli ce vide." Dit-il nostalgique de sa rencontre il y a bien des années.

-" tu pourrais me raconté, elle ne m'a jamais raconté. Même si nous avons eu beaucoup de conversations. "

-" La première fois que je l'ai vu, nous étions dans un musée quand elle venait d'arriver en Angleterre."

**********

Après un long chemin en bateau depuis la France me voilà enfin en Angleterre, le Pays natale de ma mère dont elle m'a tellement parlé depuis ma tendre enfance.

Je m'avance dans ses long couloirs du musée avec la dernière exposition de mon père qui est décédé il y a quelques semaines. J'aimais mon père mais je ne peux me laisser submergée, il faut plutôt que je profite. Cette mort m'a appris que la vie peut-être courte.

Devant son dernier tableau, je souris. Il avait décidé de me faire en tableau, il l'avait déjà fait mais j'étais à peine un bébé. Alors que je joué avec mes doigts regardant souriante avec de bon souvenir en tête une personne m'arrête dans mes pensées.

-" on raconte que le peintre est mort en la finissant" dit une voie juste à côté de moi.

Je tourne la tête et voit un homme d'une vingtaine d'année au cheveux brun, très séduisant. Lui regarde encore la peinture alors je repositionnne bien ma capuche et regarde dans la même direction que lui, vers le tableau.

-" elle devait être importante pour lui, tout les peintres ne font pas un portrait d'une personne sans être payé."

-" je suis sûr que vous avez raison." Dis-je nostalgique de ce moment là.

Je venais de me lever, le soleil était là à Paris. J'avais enfilais ma plus belle robe, elle est jaune légé avec un corset blanc. Je devais avoir un rendez-vous avec une amie dans le parc, elle devait me parler des voyages de son plus grand frère en Espagne. Mais alors que je passais voir mon père dans son atelier avec sa toile blanche il décida de ma faire avec le beau paysage qu'on apercevait à travers la fenêtre.

De nouveau dans mes pensées, le toucher d'une main sur mon épaule me sort de celle-ci.

-" Muse, est-ce vous?" Entendis-je à côté de moi. Je me retourne vers cette homme qui me sourit voyant mon visage.

Je lui fait un sourire à mon tour avant qu'il reparle.

-" je pense que votre mère vous attends" après ses mots je me retourne vers ma tendre mère à l'entrée de la grande salle.

-" jeune fille, je vous cherchez, nous devons y aller ou nous serons en retard" c'est alors que je repris conscience et m'avance vers elle d'un pas précipité.

Alors que nos talons résonne de nouveau, je me concentra sur ses long cheuveux blond à boucle entrain de sauter à la vitesse de nos pas.

-" Muse, voir la Reine pendant le bal des débutantes et très important, si nous te voulons un mari respectable."

-" oui mère, j'en suis consciente mais grand-père est là pour nous aider aussi, non?"

-" malheureusement non, il a dû partir pour cette saison à son regret, mon frère l'aurait appelait d'urgence à Vichy"

Je hoche la tête déçu de cette information, habitant en France je le voyais très peu mais tout les ans il venait me voir et j'en garde très bon souvenir.

-"mais si il n'est pas là, où allons nous passer cette saison mère?"

-" l'une des amies de ma chère mère à bien voulu nous accueillir chez elle, elle se nomme Lady Danbury"

- " grand-mère vient avec nous ou avec mon grand-père ? "

-" malheureusement elle aussi doit partir à Vichy" soupire-t-elle mais je sais qu'elle aime sa mère très profondément.

Exept for you  (Benedict) Où les histoires vivent. Découvrez maintenant