Exept for you (Benedict)

7. sans même comprendre

Arrivant dans la maison des Bridgerton, je souris à la pensée que les anglais ont tous des maisons plus belle que les autres. Ma mère cette fois à mon bras nous entrons toute les deux dans la salle de balle.

À peine entré, je vois au bout de la grande salle Philippe. Quand il tourne le regard vers moi, je me dirige vers les boissons alors que ma mère vers des anciennes amies.

Sentant une présence derrière moi je me retourne et le vois en face de moi. Toujours avec son sourire.

-" vous m'accorder votre première danse, ma chère" souriant comme lui je ne pus refusé une danse du prince d'Espagne. J'attrape sa main qui est près de moi.

Il m'entraîne sur la piste de danse et pose ses mains sur moi.

-" vous êtes magnifique. Je n'es pas eu le temps de vous le dire ce matin." Chuchote-t-il près de mon oreille. Sans mis attendre il me fit tourner sur moi-même.

-" vous allez me faire rougire" lui répondis-je donnant une petite tappette sur son épaule droite.

-" je ne dis que la vérité, de tout mes voyages, jamais une femme aussi belle, j'ai rencontré. " continu-t-il mais cette fois dans les yeux.

-" je n'ai jamais eu un telle compliment. "

-" vous le mérité "

Notre conversation fut fini au song du changement de musique. Je lui fait une révérence avant de me retourner toute souriante. Mon regard se pose soudain sur Benedict. Je n'ai pas les mots. Les yeux dans les yeux. Se sentiment dans le ventre que je ne peux toujours pas expliquer. Je sais que c'est juste quelques secondes mais son regard dans le mien celà durée des minutes entière pour moi.

Malheureusement, mon regard est coupé quand les nouveau couple arrive vers la piste de danse. Je me recule et pars en direction du buffet. Je pris un petit amuse-gueule voyant ma mère revenir.

Souriante et belle comme toujours, je peux constater que même après la mort de l'amour de sa vie, elle est heureuse de revenir ici et de revoir de vieilles amies.

Tout d'un coup, quand mère arrive je commence à me sentir éssouflé et ma gorge sèche. Je ne me tarda pas à boire un verre d'une traite mais rien ne se stoppe. La respiration commence à manquer. Ma mère comme paralysé devant moi avec sûrement les souvenirs qui reviennent.

Une chaleureuse inébranlable monte en moi alors sans attendre de me précipite vers les portes non-loin de moi.

Mes mains sur un banc et mon torse en avant pour respirer. L'aire manque toujours et ma tête commence à tourner.

Le song de pas contre les cailloux se font entendre mais je ne pus me retourner.

-" Muse? Tout va bien? Je vous ai vu quitter la salle." Sans explication je reconnu la voie de Bénédict.

Voyant mon manque de réponse, il s'avance. Sans hésitation vu mon état, il pris mes mains dans les siennes. Il pose mes mains sur son torse et les siennes au-dessus. Nos regards encrée dans l'autres comme tout à l'heure, il prend le temps d'inspirer et d'expirer pour que je prends exemple sur lui.

Quand mon souffle repris normalement, je le regarde effrayé. Les souvenirs de mon père reviennent. Je le vois encore me montrer le tableau tout fraîchement finit. Je vois aussi son pinceau tombée de sa main. Puis lui entrain de tombait sans aire. À cette pensée mes yeux se ferment avec une larme coulant sur ma joue.

J'avais déjà eu des crises comme ça mais mon médecin avait dit que c'était à cause de corset que j'ai arrêté de mettre depuis un an ou deux. Mais je n'avais jamais eu une crise aussi long.

Je commence à sentir des bras s'enrouler autour de moi et je pus sentir son odeur qui me détends. Mes mains s'agrippe à sa veste alors que mes pleures viennent de plus belle.

Après une dizaine de minutes je me calme, je recule mon torse du sien et me remets à la regarder.

-" merci..." énnoncai-je ça à peine audible, il est le seul qui aurais pu l'entendre.

Je m'éloigne de lui pour retourner dans la salle mais juste devant la porte je suis obligé de me retourner pour le voir me regarder de derrière. Je lui fais un sourire, je voudrai tellement rester avec lui dans ses bras mais ma mère doit se faire peur.

Quand je la vois venir vers moi, j'ai su qu'elle me prendrai dans ses bras. Et c'est ce qu'elle a fait. Je senti son soulagement dans mes bras. Puis elle se remet face à moi les mains sur mon visage, carressant avec son pouce.

-" mon enfant, j'ai eu tellement peur et en plus je n'arriver pas à te retrouver" elle pose son front contre le mien et ferme les yeux chuchotant: " mon seul enfant, ma fille, j'ai eu tellement peur, je t'aime tellement " toujours en carressant ma joue. "Maintenant nous rentrons à la maison"

Cette soirée aura été courte et longue à la fois.

Nos pas contre les pierres vers le carrosse une voie m'interpelle.

-" Muse!" Crit une voie de fille.

Je me retourne et vois la jeune Daphné Bridgerton. Elle court vers moi levant sa main dans les aires signifiant qu'elle a quelques chose. Quand elle est enface de moi, je ne vois toujours pas l'objet dans le noir mais elle me le mit dans ma main.

-" vous aviez fait tombé votre collier, je me suis dis que vous seriez déçu de le perdre. Celà date du balle des débutantes, je n'avais pas trouvé le temps de vous le donner."

Je lui souris car effectivement je reconnu mon pendentif dans mes mains. Je m'accroupis vers elle et pose une main sur son menton.

-" merci Daphné, il est très important pour moi, c'est mon père qui me l'avait offert mais je pensais qu'ils me l'avaient perdu sur la route quand je suis venu en bateau." Je dépose en bisous sur le haut de son front. " va rejoindre ta mère avant qu'elle s'inquiète"

Elle hoche la tête et se remet à courir vers les portes du château. Quant à moi, après avoir été sûr qu'elle soit rentrer, je me retourne vers ma mère et lui fait signe de la tête que je suis prête à rentrer.