Chapitre 10 : Mauvais préssentiment

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Point de vue d'Anna :

Novembre, à Las Vegas, à la maison des Anderson

***

1H00 du matin.

Je sens ses mains qui se promènent sur tout mon corps, il tient un couteau et il s'apprête à me mutiler. Je n'arrive plus à respirer. Encore. Pourtant je devrais m'y habituer à force.

-C'est pour ton bien que je fasse ça il mio gatto tu le sais ? C'est parce que tu as été pas très gentil à pas m'obéir alors tu dois être puni...

Je n'ai pas la force de répondre. La corde qui me maintient me fait de plus en plus mal. Je sens que ma circulation sanguine est de plus en plus faible. Le peu d'énergie qu'il me restait quitte mon corps.

-Répond !

Je sursautai de peur et ma crise d'angoisse commença à faire face. Je savais comment ça allait se finir j'allais perdre connaissance. Il va voler mon âme une fois de plus... Comme toujours finalement.

-O...oui. Arrête Julio je suis fatigué laisse-moi.

Son sourire de pervers s'affiche sur son visage et il commence à déchirer mon haut, en me donnant un coup dans le ventre par la même occasion. J'ai l'impression que mes boyaux se tortillent entre eux et ne demandent qu'à sortir de ce corps qui n'est plus le mien.

Une fois que mon haut du corps était à sa merci, il reprend son arme de torture. Je pousse un hurlement de douleur quand je sens la lame tailler ma peau. Je suis presque sûr qu'elle n'est qu'à seulement quelques centimètres de mes côtes.

Il lâcha le couteau. Et il commence à me toucher à sa guise comme si j'étais un vieux jouet auquel il pouvait faire tout ce qu'il voulait. Et moi je meurs. A un petit feu. Mais je meurs. Sa bouche me fait mal quand je la sens embrasser sur mes seins. En me griffant et en me mordant. Je ne suis qu'un morceau de viande.

J'essaye de me défendre mais je ne peux rien faire. Je suis bloqué sur cette maudite chaise et j'ai beau tortiller mes poignets, la corde ne veut pas céder.

Je hurle de douleur. Je hurle ma souffrance. Et je préférais mourir avec une balle dans le crâne, là maintenant, que de me voir à nouveau soumise à lui. Je pleure et il continue de me frapper jusqu'à ce qu'il commence à prendre son membre et commence à se masturber devant moi avant de me l'enfoncer dans ma bouche. Mes larmes n'arrêtent pas de couler. J'essaye de fermer la bouche dès qu'il ressort pour qu'il me laisse tranquille, mais j'ai le droit en retour à des coups dans le ventre qui me font crier, et il en profite pour recommencer.

Il se saisit de mes cheveux et me les tire pour torturer encore plus de ce qu'il ne fait déjà. Et il fait des vas viens dans ma bouche. Je veux mourir. Aidez-moi par pitié. J'ai envie de vomir. Je veux qu'on laisse tranquille.

-NON ! JE VEUX QUE TU ME LAISSE TRANQUILLE ! Je t'en supplie...

-Cris mon, il mio gatto tu m'excites...Sale pute, crache-t-il en saisissant ma tête pour accélérer le rythme.

Dès qu'il ressortait j'épousais toute mon énergie pour cirer :

-NON ! AIDEZ-MOI JE VOUS EN SUPPLIE AU SECOURS !

-Anna !

Il retire son membre de ma bouche et je vomis toutes mes tripes. Je veux m'enfuir loin. Il commence à déboutonner mon jean. En mordant ma poitrine comme un sauvage. J'ai mal.

Sous son EmpriseOù les histoires vivent. Découvrez maintenant