Les regards de mépris

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  Le jour est arrivé, plutôt le soir. Les dires de son père étaient vrais, de magnifiques couleures danssantes dans le ciel!
  Il l'avais réveillé dès les premiers signes comme elle lui avais demandée.

  Pour lui, cet évènement est moin réjouissant.
  Il à bien préparé de quoi tenir une semaine pour Aneley ainsi que les inscription néscaire pour son autonomie, même si il ne compte pas s'absenter plus de deux jours.

  La perspéctive de se séparer de sa famile pour être regardé comme une méprisable vermine ne lui est pas, en effet, des plus attrayante. Mais pour tenir tout l'hivert, faire du commerce est impératif. Le seul jour où il à le droit d'intéragir avec d'autres humain est arrivé.

  Alors le voila sur le chemin du plus proche village. Ses pelisses de bêtes et plantes gérisseuses en sacoches. Il est craint autant que ses productions sont convoitée.
  Étrange logique de craindre une personne à tel point que l'on en fait une forme d'être proche du mystique dont les création sont considéré comme artefactes.

  Il entre dans le village. Beaucoup des habitant sont biens cloisoné dans leurs maison, mais leurs oeils indiscrets scrute le moindre de ses faits et gestes.
Le chef du village l'attend. Ses gas, sans doutes les plus téméraires, justes derrière lui. L'aire de rien mais bêches dans la main en cas de besoin.

  Il négocie.

  Parfois il vois une petite tête brune ou blonde s'aventurer hors d'une maison, immédiatement rappelé à l'ordre.              Évidement.
  Un veillard cependant, trop vieux pour craindre quoi-que-ce-soit sans doute, est bien resté sur le seuil de sa maison, récitant quelques psaume en le fixant.

  Apogoï se sent redevenir le vieux chasseur aigris à l'aire sombre.
Chaque année la même rangaine.
Une façon d'humilier et de rappeler à tout le monde d'être un bon croyant.

  Lorsqu'il part, il entend déjà les portes s'ouvrir et le pas des pieds courrir dans la neige, voir ce qu'il à apporté.
  Il se retourne juste pour les faire gentiment peur. Ils ont tous reculés en un mouvement.

  Vivement qu'il rentre. La petite bouille d'Anéley, pleinne d'admiration à son égar lui manque.
  Comment fesait-t-il pour suporter tout ça avant elle?

Aneley's BloodOù les histoires vivent. Découvrez maintenant