Le pas de la porte en sang

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  Déjà il sent leur présence. Il panique, Aneley ne peu toujours pas tenir debouts. Alors il fait partir ses chiens dans une direction et lui dans l'autre.      
  Peut être qu'en agissant comme leurre, Ils ne tueront que lui et ne retourneront pas voir sa maison. Ils ne compte que le punir lui après tout.

  Mais il ne fît même pas cent mètres qu'une racine vînt lui aggriper la cheville. Il n'eut même pas le temps de saisir son couteau que d'autres racines vinrent l'immobiliser. Leur auras les devançes.
Deux Dieux jaïssent des arbres. Dont une avec qui il avais déjà fait la douloureuse rencontre.

-Alors, tu ose encore l'orgeuil Apogoï.

  Elle lui prend le menton et plante un regard d'avertissement. À la fois calme et méprisante, sous ses billes de métal placides bouillonne une colère froide. Apogoï veut être digne et affronter ceux qui lui ont imposé ce destin et lui répond avec le ton conséquent.

-La seul faute que j'ai commis est d'avoir aidé quelqu'un et m'aider moi-même par la même occasion.
Bien qu'il se force à ne pas trembler, sa voie est éteinte et fatiguée, encore plus face à la perfection d'une Déesse.

-Avec les années, tu a gagné en audace...

  Son tont est moralisateur, comme un parent las, qui n'a plus qu'une solution pour punir sont enfant.
  Le Dieux de la forêt, lui, ne prête lui aucune attention, se tenant juste en retrais.

-Et bien, allons cherchez votre cher enfant et fesons un crochet au village..

  Lâchant son menton en même tant que sa phrase. Les liannes recouvres sa bouche avant qu'il ne proteste, ne laissant s'échapper que des cris étouffé.
Apogoï gesticule, pleure, cris, autant qu'il peu, impuissant.
  Un parent se battant avec l'énergie du déséspoire.

Lui et sa filles sont trainé jusqu'au village. Au débus, leurs chiens les suivaient de loin mais un regard acérés Du Dieux-sauvage les firent dégèrepires.

  Anélèy est térrorisée, le simple fait de voir son père pour la première fois dans cet étas là, avec une telle résillance dans ses yeux, un tel désépoir, elle ne sait comment réagir. Et espris embrumé n'arrenge rien.

  Arrivé à l'aurée du village, La Déèsse Cyfiawn saisi Apogoï et s'avance. En partant, elle s'adresse au Dieu Milnain:

-Reste ici avec la gamine. Empèches-la de détourner le regard.

  Faire payer même aux innocents.

  Au village, tout le monde est réunis. On ne sait pas exactement ce qui risque de se passer, juste que quelqu'un vas subire l'îre de La Déesse Cyfiawn, alor on prend la posture la plus humble, le comportement le plus pieu et on se tait.

-Villageois, soyez témoins! Cet homme qui a fauté, a reçu la clémence des dieux mais à recommencé à nous défier.

  Elle balance Apogoï sur le sol.
  Le contraste du patétique d'un simple mortelle déséspéré et de la grandeur de la Divine juge implaquable, offre un bonne avertissement à la populace.

-Que celui ayant soigné sa fille s'avance.

  D'une personne, la foule se déplace, formant une allée pour le guerrisseur. D'un pas calme et d'un visage résolut il s'avance avec le plus profond des respects.

-Pourquoi, vieux guerrisseur, avoir sauvé la projeniture de cet hérétique puis l'avoir dénonçé ?

  Le guerrisseur offre sa réponse la plus sincère.

- Mon rôle de guerrisseur est de sauver, mon rôle de fidèle est servir les dieux.

  La Déesse Cyfiawn est satisfaite de sa réponse.

- Tu peu disposer.

  Sans plus un mot, alors que les regards sont rivés sur le condamné, Elle sort son Glaive, se passe une main dans les cheuveux et sort une fine tresse de laquelle elle dégage un cheuveux. Dans un mouvement infiniment long, Apogoï voit la lame se rapprocher inexorablement et dangeureusement du ,litteral, fils de sa vie.

  En effet, chaque cheuveux représante un croyant. Lorsque coupé, le cheuveux blanc se teinte de noir .

  Anélèy vois le corp de son père s'affaisser, sans un bruit.

  L'espace du moment où la mèche est coupée, tout les moment passé avec son père défilent sous ses yeux. Elle pousse le cris de douleur qu'aurai dût faire son père. Assayant de s'extirper de tout ses force, elle se coupe; envoyant un pic dans l'oeil du Dieux. La surprise lui permet de se dégager et courrire. Une part d'elle ne peut admetre ce qui vien de se passer.
  Dans sa logique d'enfant, il est impossible que cette figure indestructible meurs d'un si simple geste.

  Mais déja elle se fait rattraper par La Déesse.
  Elle n'a comme dernière image le visage de son père la fixant éternelement, sereint comme s'il partait sans regret.
  Revoyant peut être son ancienne famille.

  La Déesse Cyfiawn est presque amusée.
Elle se penche vers elle dans l'attitude d'une personne considérant un petit chien. Avec les yeux grand ouvert pour scruter, semble-t- il, son âme.

-Une demi-déesse, et bien, ip est vrais que l'on ne le remarque pas tout de suite. "La lune au pas de ma porte" comme on dit. Bien de questions me viennent à l'esprit dont je n'attend de réponse.

  Un mélange de dégout et de douleure lui retourne le ventre en entendant cette expression qui, telement signifiquative pour elle que s'en est son prénom, dans la bouche de celle vennant d'assassiner celui qui l'a choisi.

  Frappant dans ses mains lorsqu'un idée lui venant à l'esprit; elle s'adresse à Aneley.

-Je sais ce que nous allons faire de toi...

  Sans plus d'explication, Elle se releve sans plus porter aucune attention a la petite. Fais un signe Au Dieu Milnain. Celui-ci grogna pour réponse. Irrité de son mépris.
  Ils continuèrent leur chemin, trainant derrièr eux une enfant absolement terrifiée et déshorientée. Retournant dans la montagne.
  Qui pour denière vision famillière auras le reste de sa troupe caninne couïnnant et hurlant de loin pour signe d'adieux.

Aneley's BloodOù les histoires vivent. Découvrez maintenant