Le domaine de Sir Emporos

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  Les paysages défilent, passant de forêts bien fournies a des des champs parfois bien secs.
  Elle rêve de s'assoir sur l'une des charrettes bien remplies mais on lui a bien fais comprendre qu'elle n'a pas pas le status pour se le permettre.
  Elle serre donc les dents losrque des gravillons lui agrandissent les plaient sous ses pieds.

  En arrivant au domaine, ils sont passés par des champs où de nombreuses personnes, les pieds dans la terre, travaillaient le sol avec des outils.
  Le palais est digne des description que sont père fesais des légendes qu'il lui racontais.

  À aucun moment "Sir Emporos", visiblement le nom de son nouveau maître, ne lui adressa parole ou regard. Les seules informations qu'elle a pus avoir sont d'un homme tout le temps aux cotés de l'imposant Emporos. Qui intéragît à la place de son maître.
 
  Devant cet important palais, le cortège d'aquisition se désagrège sous les ordres du maître et son bras droit. Le personnel est là pour ranger les trésors dans les coffres, les épices dans les gardes-mangés, les étoffes dans les placards et bêtes dans les granges.
  Aneley ne sais pas trop quoi faire mais ne se fait pas remarquer; ça, elle l'a bien enregisté; plus tôt dans le voyage, elle avait manqué de se prendre une bourrade pour s'être stoppée car elle étais trop fatiguée pour marcher.
  Elle ne compte pas reitérer l'expérience et se fait donc toute petite.

  Au bouts d'un certain temps à observer de loin les gens s'affairer sans trop savoir quoi faire, elle vois Sir Emporos la designer à un homme dont le corp musclé est parsemé de cicatrices, à la barbe bien fournie, ne portant qu'un bas et des protèges avants-bras en cuïr.   Celui- ci vien l'interpeller.

- Petite, suis- moi, je vais tout t'expliquer en même temps qu'on vas fair le tour du domaine.
  Ils firent le tour du domaine, en tout cas la partie où elle a le droit de circuler; pas un très grand périmètre. Maître Dèrma, comme il tout le monde l'appel, lui a confié une couverture et quelques vêtements. Ses instruction sont si nombreuses, sont accent et son jargon si inintelligible qu'Aneley n'arrive pas à tout suivre.
  Logique quand on à changé de pays.

- Aujourd'hui je te laisse cette journée de libre pour t'acclimater mais après on commence ton entrainement. Crois-moi tu a de la chance qu'on te brusque pas trop. T'a intéret à t'accrocher et à serrer les dents. On t'a sûrement rien expliqué mais t'es une demi-déesse gamine, qui a des pouvoirs qui peuvent servir au combas. Et ici, les gens aimes bien les combats. Et le Sir appréci ce domaine. Alors tu vas t'entrainer pour. Commes toutes ces personnes.

  Ils s'arrêtent et le maitre désigne devant eux, une batisse avec une grande cours où des personnes s'entrainent. Entrés dans la batîsse, il lui attribu une cellue puis ils ressortent.

-Tu reste dans ton coin et tu observe.

  Sur ce il la laisse là et vas geuler sur ses élèves qui paresses.
  Il y a parmis ces personnes, qui sont une petite vingtaine, des personne d'une tranche d'âge qui vas de jeune adulte à la trentaine.

-T'a de la chance d'avoir un collier.

  Aneley sursaute, plongée dans ses pensées déshorientées elle n'a vus le graçon se glissé vers elle. Elle mis quelques secondes à comprendre ses parole.
En la voyant refermer jalousement ses mains sur son collier, il là rassura.

-Non t'inquiète pas, je veus pas te le prendre, c'est juste que en général, quand tu arrive ici, t'a juste les vêtements que tu porte. Et encore...

  Le garçon qui lui parle est un demi-lion, cela se vois de part ses yeux, définitivement des yeux de félin, ses griffes et la queu dépassant de sa tunique. Sa grosse touffe de cheuveux rappelle également la crinière d'un lion.
  Tous deux ne savent pas trop quoi dire. Il a le regard farouche d'un enfant qui a déja connus le coté rugeu de la vie. À peinne âgé de deux années de plus qu'Aneley. Là encore, l'accent de la région l'empèchas de bien saisir ses paroles.

- Tu t'appelle comment?

- Aneley!

  Alors qu'elle allais lui poser la même question, le cris de Maître Dèrma retentis:

- Eidón! Tu crois que je te vois pas à rien faire? Si tu raplique pas tout de suite, j'te fais bouffer mon poing.

  Eidòn adressa un signe de main à Aneley puis courrus pour éviter un festin douloureux.

  Aneley le regardas partir avec l'espoir
d'une lueure la guidant dans le brouillard: c'est la première personne à lui avoir demander son prénom.

  Le reste de la journée passe, parfois, Eidòn lui fait des signes de loin.  Lorsqu'une cloche sonne, tous le monde s'arrète et se dirige vers la quantine.
  Eidòn veins vers elle.

  - Tu viens? C'est l'heure de manger.

  Des serviteurs apportent un marmite et des bols. Lorsqu'ils servent un à un les gladiateur, ils semblent limiter au maximum leur proximité avec ces dernier, puis partent d'un pas préssé.
  Les portions servies sont aussi généreuses que peut ragoutantes.
  En voyant Aneley grimaçer à la vue de cette bouillie, sont compagnon félin l'encourage entre deux bouchée:

-Crois-moi, on a de la chance, les autres esclaves on beaucoup moin de viande... voir pas du tout. Et puis ce truc vas nous servire, vas falloir que tu t'y habitue.

  Elle se force donc, consciente qu'elle n'a pas vraiment le luxe de se plaindre.
Après le repas, ils repartent tous à leurs tâches.

- L'année prochaine, je vais faire mon premier combas. Avec sir Emporos, si tu gagne pas ton premier combas, tu peu perdre ce status. Ça a pas l'air comme ça, mais gladiateur c'est pas si mal, c'est mieu qu'être simple esclave. T'es mieux traité et nourris. Faut juste pas mourrir dans l'arène.

  Aneley auche timmidement la tête, ne comprenant pas tous mais trouvant un semblant de repère dans ses paroles.

  Le reste de la journée passe. Elle observe les gladiateurs.
  Le soir, elle et son nouveau compagnon dorments dans la même cellule car ce sont les deux plus jeunes des gladiateurs.

  Ainsi s'achève sa première journée dans sa nouvelle maison.

Aneley's BloodOù les histoires vivent. Découvrez maintenant