Rapel de la réalitée

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  Il arrive souvant qu'Appogoï se stoppe de parler d'un coup. Tendant l'oreille avec la plus grandes des concentration , parfois pendant plusieurs longues minutes. Puis  continue avec dans ses yeux une pointe d'anxiétée.

  Maintenant. Les feuilles des arbres jaunies glisses dans le vent rafraîchi et s'affaisse sur un sol au herbes mourrantes.

  Alors qu'ils lavent leurs linges dans un nettoyage d'Automne. Les chiens, d'un coup, se mettent aux agets .
  Apogoï se fige.
  Des aboiments.

-Aneley. Vas tout de suite à la maison. Tu t'y enferme et ne sort que-lorsque-je-t'y autorise.

-Pourq'

-Fais ce que je te dis, JE T'EN SUPLIS!

  Elle aquièce, en tremblant un peu. Le voir dans cet état là la terrifie. Le voire perdre son sang froid, voir dans sont expression de l'horreur. La chose qui provoque la plus grande peur chez un enfant, c'est de voir que son parent est terrifié.
  Elle part avec Noor.

  Tout le temps enfermé, elle tripote la fourrure du bestiau. Le temps qu'elle se calme, que les larmes lui montant aux yeux se sèchent du moin, le ciel à pris des couleur chaudes, elles filtrent à travers la porte. Elle confuse, elle n'entend que sa respiartion et celle de son chien dans une interminable attente. Dans quel état reviendras son père?
  Son père ne reviens que lorsque le solei à terminé sa course.
  Du sang séché est parsemé sur ses vêtements.
  Son regard est sombre et tourmenté. Le poid de son acte ployant ses épaules presque littéralement. Une partie de lui est resté là-bas.

Puis il la regarde. Elle aurais préféré qu'il ne le fasse pas. Elle se sent presque en danger. Il la considère, indésci, lui aussi perdus. Il ne veut pas gacher son inoscence, lui apprendre des conceptes qui pourraient changer la vision qu'elle à de lui, briser le havre de bonheur qu'elle lui a apporté. Mais il le faut. Il faut qu'elle comprenne, la préparer à ce monde.

-Oui, je suis un gardien de leurs sancuaire. Je suis chargé d'éliminer les intrus. Pardon de t'avoir crié dessu mais je ne veux pas que tu me vois le faire. Et il ne fallais pas que lui te vois. Sinon c'est nos deux vies qui seraient menaçées.

Ces mot lui laissent un gout amer. Il n'est même pas sûr qu'elle ai tout compris.

Aneley's BloodOù les histoires vivent. Découvrez maintenant