Aneley's Blood

L'envollée

Ils avaient attendus le jour J avec anxiété.
Ce jour désignait un jour de fête particulier où la surveillance serait baissée.
La santée d'Éléa se détériorait peu à peu, fesant légèrement ternir sa peau, fragilisant sa santé et altérant ses forces. Son ventre commençait à rondire également. Malgrés tout cela, elle se comportait comme si tout était normal.
Anéley avait peur. Revoyait son père mourrir.
Éidòn, las de s'énèrber, ignorait simplement la déchéance.

Ce jour est arrivé. Le voil d'une nuit douce est chaude recouvre peu à peu les terres du Sir. Les premier convives commençent à arriver.
Lorsqu'ils entendent pas loin des rires légés,eux sont au contraire très tendus. Ils ont attendus, avec toute la patience qu'il leur est possible d'avoir, que les festivitées se calmes et que le domaine s'endorme. Les plantes qu'Éléa a préparée pour ce jour, se dispersent dans l'air pour alourdir les paupières des convives.
Lorsque dans la nuit noire, Anéléy n'entendis plus que la respiration pronfonde et régulière de ses compagnes de cellule, elle sût que c'est le signal. À taton, elle défait le verrou. Geste qu'elle s'est entrainée à effectuée le plus discrètement. Le petit clique sonore caractéristique de celui-ci résonne dans toute la pièce lorsqu'il s'ouvre.
Elle se glisse j'usqu'a la cellule d'Eidòn et recomence.
Ils on juste à se frôler pour se comprendre.
Dehors, même si il peuvent relacher leur respiration, il savent qu'ils ne sont pas sortis d'affaire. Eidòn passe devant elle pour ouvrir la marche, étant nyctalope, il choisit les meilleur chemins pour ne pas laisser de traces. Furtifs, se glissant entre le buissons, par même passage caché qu'ils ont tant emprunté, il vont rejoindre Éléa.
Elle est appuyée contre son arbre. Comme à chaque fois qu'ils sont venus ici, elle leur ouvre les bras.
Ils restent sérré jusqu'à qu'Anéley se défasse de leur bras.
Éléa lui prend les mains.

- Nous t'attendons ici.

C'est là que tout se corse. Sont rôle à été définis en amon. Avant de s'enfuir, elle doit s'infiltrer dans la demeure du Sir pour reprendre leur argent. Lorsqu'ils serons "dehors", ils en auront bien besoin.
Mais il lui faudrat bien de l'adresse pour ne pas se faire repérer. Tout leur plan pourrait se compremetre si elle échoue.
Elle fait taire sa peur, se concentre sur le bruit de ses pas. Furete entres les ombres et les lumières. Dans tout le silence qui recouvre e palais, le crissement des cailloux sous ses pieds (qu'elle à volontairement déchausser pour plus de discrétion) lui parait résonner dans tout le domaine.

Le coffre qui garde leur rente se trouve entre au dernier étage du palais, après la chambre du Sir. Juste en dessous se trouves le dortoir des gardes. Il faut donc ne pas faire le moindre bruit oû une floppée de gardes ferat irruption.
Pour accéder discrètement à la salle, il faut passer par la chambre du Sir et lui voler sa clé, pour accéder discrètement à la chambre du Sir, il faut passer par sa fenêtre donnant sur le balcon.
Eĺle fait taire son appréhention, et comme avant un combas, se concentre sur ses action.
Le balcon se trouve sur la façade arrière du palais. Heureusement, aucun garde n'est présent.
Un discret parcour se dessine sur le mur. Elle compte évidement s'en servi pour l'escalader.
Avant, elle prend un temps, et avise le mur. Visualisant les mouvement qu'elle compte faire.
Puis saute.
Elle l'escalade non sans difficulté et maladresse. N'ayant pas l'habitude de ces mouvements, d'habitude elle se bat, elle ne grimpe pas. Elle grimaçe sous la doulheur de ses doigts tentant de s'enfonçer dans les félures de la paroi.
Elle se crispe losrqu'elle manque de basculer.
Plus qu'un dernier effor. Ne reste qu'à se isser au balcon.
Elle lâche un soupir de soulagement. Avant de plaquer ses main contre sa bouche.

La nuit est chaude et douce. Et grace à cela, les fenêtres sont grandes ouvertes.

Avant d'entrer, elle jette un coup d'oeil à l'intérieur.
Elle ne distingue pas qu'une silouhette dans le lit. Plutôt quatre. La plus imposante est le Sir, deux autres, bien plus féminines sont celle de courtisannes. Elle semble reconnaitre l'une des deux, qu'elle avait déjà apperçus et trouvait plutôt agréable à regarder. L'autre silouhette est...