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Tv
Billie Eilish
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Je rentre chez moi, dans la maison de mon copain.

J'ouvre la porte et mon copain m'accueille, il ne va plus en cours depuis qu'il dirige un trafic...

-Ma chérie, me dit-il et me fesant un câlin.

Je grimace, sentant qu'il appuie sur des bleus frais, faient par lui.

Il me prend la main, et il m'emmène dans notre chambre.

Il me dépose sur le lit et me déshabille.

-Putain, t'es trop belle, me dit-il en regardant mon corps.

Il déboutonne son jean, baisse son caleçon et empoigne son pénis.

Je suis avec lui depuis 3 ans...

Il me pénètre sauf que je lui rappelle,

-Le préservatif Lucas.

-Oh ça va arrête de me faire chier avec ça ! Tu casses les couilles putain, me dit-il en m'entourant le cou de sa main, serrant sa poigne.

Et il commence ses mouvements de bassin, il me déchire, il n'a même pas vérifié si j'étais mouillée.

Comme s'il le fesait d'habitude...

-Lucas, tu me fais mal.

Il ne me répond pas préférant accélérer ses vas-et-viens, et il plaqua sa main sur ma bouche pour que je ne parler plus, et le déranger dans son viol.

Ce n'est pas la première fois, j'ai arrêté de compter, depuis 2 ans.

Il me demande,

-Tu ne prends pas te plaisir ? Et il enlève sa main de ma bouche pour que je lui réponde.

-Si, si j'adore ça, je lui réponds.

Il jouit, il se retire de moi puis s'allonge sur le lit à mes côtés.

Il me tourne le dos tandis que moi je reste sur le dos.

J'ai vu sur internet que dormir sur le dos est plus facile de se protéger dès le réveil, que si on s'installe trop bien on est plus sur ses gardes.

Donc depuis aussi 2 ans, je dors sur le dos.

Et une première larme coule, suivie de plusieurs dizaines.

J'aimerais bien le quitter mais je ne peux pas.

Ma maman est malade et les frais médicaux sont trop chères, et puis la fois où je me suis enfuie, j'étais obligée de revenir vers lui, je ne pouvais plus payer les frais.

Il verse un chèque pour payer les frais tous les mois.

Donc je me bats jusqu'à avoir assez d'économie pour partir, mais j'y crois de moins en moins à mon départ...

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