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Qu'es-ce que je fous là ? Il tenta de contenir ses tremblement, la nervosité aller parvenir à ses fins avant qu'il ne puisse entrer. Il scrutait la salle en ne cessant de se demander pourquoi Madeline l'avait envoyé dans un cabinet d'avocat plutôt qu'un psy après qu'elle est découvert ses brûlure. Au moins elle devrais s'estimer heureux qu'elle ne l'ai pas envoyé chez un exorciste ou quelques chose du genre. Il gardait un très mauvais souvenir de ses cours de catéchisme que sa mère avait forcé à prendre.

— Monsieur Davis ? Maître Brown est prête à vous recevoir.

Il passa devant la jeune réceptionniste qui était resté les yeux rivée sur son téléphone à jouer à Candy Crush pendant les quinze minutes ou il était resté assis là à attendre.

— Bien installez-vous.

Katherine Brown, se tenait debout devant son bureau.

— Qu'est ce qui vous emmène ici ?

Elle esquissa un sourire en le déshabillant du regard et il s'enfonça d'avantage dans le fauteuil en cuir, mal à l'aise.

— Timide. Je note.

— Enfaîte j'en ai aucune idée. Ma meilleurs amie m'a forcer à prendre rendez-vous et elle m'attends en bas.

— Donc vous êtes là contre votre plein grès.

Elle leva les yeux au ciel.

— Madeline, Madeline.

— Vous la connaissez ?

— Oui, elle a écris quelques articles au sujet de mon travail.

— Elle écris dans la rubrique divertissement rien à voir avec les faits divers quoique pour certains personne c'est du divertissement mais de toute manière vous êtes dans le droit civil par pénal donc. ;

— Tais-toi !

Il se tue sous le choque. La froideur de sa voix lui provoquer des picotement au fond de son estomac et il triturer le bout de ses gants mal à l'aise.

— Bien. Je pense que je vais avoir de quoi m'amuser. Je parlais bien évidement de mon autre travail. J'ai des part dans un club pour adulte.

— D'accord.

Il commençait à comprendre ce que Madeline avait eu en tête en l'envoyant ici.

— Je ne vous ai pas dit que vous pouviez parler.

Il levait la main.

— Je vous écoutes.

— De quel genre de club s'agit-il exactement ? Est ce que se sont ces fameux club privée ou les hommes riches achètent des femmes ou...

— Bon sang. Elle m'a envoyé un Novice !

— Désolé.

— Ce n'est pas grave. Il s'agit d'un club BDSM, échangiste. Aucun mineur n'est autorisé et tout ceux qui sont présent son consentent.

Ho bordel, il regrétait aussitôt de s'être confier à Madeline.

— Enlever vos gants.

— Non. Je n'y tiens pas.

Elle se leva d'un bond et les lui arracha de force.

— Vous vous êtes fait ça tout seule ?

— Oui.

Il baissa la tête, son regard persans le mettait mal à l'aise.

— Et vous avez apprécié.

— Je... oui.

Comme il refusait de lever la tête, elle agrippa son menton pour le forcer à la regarder.

— Masochiste donc, mes préféré. Comment vous avez fait ça.

— Je l'ai ai trempé dans l'eau bouillante.

— Les deux mains ? Ce qui expliquerais pourquoi elles sont en cette état trop douloureux pour pouvoir les soigner ensuite.

Il s'échappa de sa poigne pour s'enfoncer à nouveau dans son siège, encore plus mal à l'aise.

— Il me reste que dix minutes pour ma pause déjeuner. Alors je vais devoir la suite de ce rendez-vous à plus tard. Voyez mes disponibilité avec mon assistante.

Il restait bouche bée.

— Fichez le camp de mon bureau !

Il avait gardé la tête baissé pendant tout le trajet jusqu'à la voiture. Il était à la fois mort de honte et fou de rage contre sa chère amie qui l'avait envoyé dans un guet-à pend.

— Alors elle t'accepte ?

— Putain de merde mais qu'est ce qui t'as pris ?

Madeline lui serrer le genou.

— Du calme, elle sais ce qu'elle fait c'est une dominatrice presque professionnelle. Elle n'en fait pas son hobbies mais elle pratique depuis des années, j'ai interviewer pas mal de ses soumis et ils sont tous satisfait.

— Une dominatrice ? Super t'es au courant que j'ai clairement pas de quoi me payer les services de ce genre de pros.... Personne.

— Alors elle ne t'as pas prise sous son ailes ?

Il fronça les sourcils.

— Elle ne fait pas partis de celles qui se font payé pour ça, c'est son rythme de vie.

— Je suis pas sur d'être fait pour ce genre de chose.

— Promet moi d'essayer, d'accord. Tu ne pas continuer à te mettre en danger. Regarde tes mains !

Il baissa à nouveau les yeux de honte. Ses mains abîmée par l'eau chaude, une partie de ses paume s'effrite à cause du manque de soin.

— Promis.

Elle l'embrassa sur la joue avant de démarrer le voiture.

Fouette moi si tu peuxOù les histoires vivent. Découvrez maintenant