— Alors ton rendez-vous ?

Quand il s'était lever Madeline attendait assise face à la porte de sa chambre avec deux tasse à café dans les mains.

— Tu attends la depuis combien de temps ?

— Pas longtemps, mentis-elle.

Il levait les yeux au ciel avant de se diriger vers le salon Madeline à sa suite.

— Ho aller ! Il n'y a pas eu de scoop dans cette appartements depuis qu'on à découvert qui manger les vider les boîtes de pims en notre absence.

— A ce propos ton ex à rendus ses clefs ?

— J'y travaille encore mais ne détourne pas le sujet. Comment c'est passé ton rendez vous ?

— C'était chouette.

Il avait ses marques de ses ongle sur ses avant bras en guise de preuve.

— Juste chouette. Tu te fou de moi !

— On a juste passer la majeur partie de la soirée à discuter.

— Discuter hein. C'est comme ça qu'ils appelle ça dans le milieu.

Il reculait lorsque ses doigts lui effleurait le cou.

— On a couché ensemble à l'arrière de sa voiture et elle m'a ramener après. Il n'y a rien à dire de plus à part que c'était une chouette soirée.

— Putain de merde ça devait être chaud alors !

— Mads.

— Quoi ? Ça fait des mois que personne n'a visité ma grotte ! Je suis sur que je ne saurais même plus ce qu'est un vrai pénis si j'en voyais un.

— Et bien dans ce cas tu n'as qu'à appeler ton ex, t'envoyer en l'air sauvagement sur l'Îlot de la cuisine comme la dernière fois et ne pas oublier de lui demander de te rendre ton double de clefs.

— Ou passer ma journée à l'attendre derrière ma porte.

— C'est pas comme si t'avais l'habitude.

Elle lui giflait le genou.

— Quand est ce que tu la revoie ?

— Jamais c'était un rendez vous unique.

— Sérieux Tyler. Je me démène pour trouver quelqu'un pour toi et tu gâche tout.

— Je suis pas sur que nous soyons compatible.

— Compatible. Elle est faites pour toi ! Ne me dit pas que tu ne l'as trouve pas sexy et que tu n'as pas aimé.

— Ce n'est pas le cas.

— Tu m'avais promis d'essayer !

— C'est ce que j'ai fait mais ça ne marche pas. Alors on oublie ce chapitre de ma vie. D'accord ?

— D'accord.

Elle soupira avant de se tourner vers lui.

— Tu vas l'a rappeler ?

— Je vais l'a rappeler mais pas pour un rendez vous, c'est juste que j'ai oublier mon portefeuille dans sa voiture.

— Mouais.

Elle éclatait de rire et fus interrompu par la sonnette.

— Je suis bien chez monsieur Tyler Davis.

— Oui c'est moi.

Le coursier lui tendis un colis et un recommandé.

— D'ou est-ce que ça viens ? Demanda Madeline après avoir refermé la porte.

— De Katherine.

— Je crois que tu vas trouver une autre excuse pour la contacter.

Elle souris fièrement avant de disparaître. Tyler ne se faisait pas prier pour s'enfermer dans sa chambre et déballer le colis. À l'intérieur il retrouva son portefeuille avec son contacts et un mots manuscrit.

J'ai trouvé l'objet idéale. J'ai hâte de commencé à jouer.

Jouer, il devait se faire à ce nouveau vocabulaire. Au lieu de lui répondre, il rechercha son nom sur Google et se rendis compte qu'il aurait peut-être du faire ça plus tôt. Katherine Brown, une jeune avocate renommé qui défendais généralement des requins de la finance ou des divorce onéreux. Elle avait trente deux ans... putain TRENTE DEUX ANS !

Message de Tyler :

Sérieusement ! Pourquoi est ce que vous ne m'avez pas dit que vous étiez aussi veille.

Il regretta aussitôt son audace même si il était exister par sa réponse. Il sursauta lorsqu'il vie son numéro apparaître sur son écran de téléphone.

— Oui ?

— Oui. C'est tout ce que vous avez à dire.

— Je suis désolé.

Il se mordis la lèvre.

— Est ce que l'écart d'age vous dérange.

— Non.

— Bien, mais la prochaine fois que vous me traiter de vieille je vous fesserais tellement fort que vous ne pourrais pas vous asseoir pendant une semaine.

— Oui, madame.

Il devina le sourire qui se formait sur ses lèvres.

— J'imagine que vous avez reçus mon colis.

— Oui, merci pour le baume. Au faites.

— Il n'y pas de quoi. J'ai aussi ajouter mon e-mail personnel donc si vous avez d'autre question envoyé les moi.

Elle raccrocha et il se retrouvé face à un écran noir et le silence de sa chambre.

Fouette moi si tu peuxOù les histoires vivent. Découvrez maintenant