Il s'éffondrait dans ses bras épuisé, son corps lui faisait mal, c'était comme si il était passé sous un camion mais il acceptait la douleurs parce que c'était ce dont il avait besoin pour se sentir vivant. Et il avait honte de le dire de se sentir aimer. Katherine le berçait dans ses bras, lui massait ses articulation douloureuse.

— Aller viens, je vais te préparer un bain.

Elle le poussait à se lever et à le suivre hors de la chambre jusqu'à la salle de bain des invités. Il ferma les yeux est profiter de la sensation du gant humide sur son torse et son bas vente pour nettoyer les restes de cire et de son sperme pendant que la baignoire se remplissait. Il poussa un long gémissement en entrant dans l'eau.

— Trop chaud.

— Non c'est parfait.

Une brûlure familière parcourait son corps et il ne luttait pas comme sourit béat qui envahis son visage.

— Ne t'endors pas si tu te noie je ne veut pas expliquer au secours pourquoi tu es dans cette état.

Il ris, mais ferma toute de même les yeux, certain qu'elle resterais à ses côtés pour l'empêcher de s'effondrer. Ses bras lui encerclait les épaules et ses lèvres était greffé à son front, il aimerait que ses moments dure toujours.

— Tu sais tu n'es pas obligé d'utilisé maîtresse mais si j'adore ça.

— Comment devrais-je t'appeler ?

— Certain adorer m'appeler maman.

Il se raidit, la plénitude l'avait quitté.

— Non.

Il la repoussait, il n'avait aucune envie de penser à sa mère à ce moment là et encore moins de comparer Katherine avec elle.

— D'accord on va rester sur maîtresse ou madame.

Il continuait de se tendre sous son contact pendant qu'elle lui massait les épaules.

— Est ce que j'ai dit quelques chose de mal ?

— Non. Je peut finir tout seul.

— D'accord.

Elle s'éloignait de lui et lui laissa des vêtements propre et une serviette à porter de main avant de le laisser tout seule dans la pièce. Il eu un pincement au cœur face à son rejet, même si il savait qu'elle était toujours là grâce à ses talon qui résonnaient dans la pièce et au ordre qu'il l'entendait ordonnait à Alfred pour le dîner. Son estomac grogna à mention de nourriture, il n'avait pas manger de la journée et il commençait à en ressentir les effets. L'eau refroidis et l'odeur de la viande rôti le forçait à sortir de la baignoire.

Katherine avait disparu il se retrouvait avec Alfred torse nu avec un masque en cuir sur la tête qui s'activait derrière les fourneaux.

— Le repas seras prêt dans dix minutes pour vous et Madame Katherine.

Il acquiesça mal à l'aise devant tout ce luxe, la dernière fois il n'avait pas pris le temps d'observer la décoration de son appartement. Tout était éclairé, lisse épuré, du blanc et du bois clair un contraste parfait avec sa salle de jeux. Depuis la terrasse il pouvait voir les lumières des grattes ciel se reflétait sur le lac Michigan.

— Les vêtements te vont à ravir.

Il sursauta, sans ses talons il ne l'avait pas entendus arriver derrière lui.

— Ils sont un peut grand. J'espère que vous les avaient laver avant de me donnait les vêtements qu'un de vos soumis à laisser.

Elle ris.

Fouette moi si tu peuxOù les histoires vivent. Découvrez maintenant