— Vous n'avez pas d'allergie particulière ?

— Non.

Il se retrouva à nouveau assis dans son bureau pendant sa pause déjeuner. Ils n'y avait qu'eux et un autre bureau occuper parce que tout les autre employé était sortie en ville.

— Vous avez trouver votre mots de sécurité ?

— Cupcake.

Elle souris en refaisait sa queue de cheval.

— Parce que j'ai pris cannelle ?

— Non parce que j'adore les décoré mais il sont trop sucré pour moi.

Elle se rapprochait de lui et il déglutis.

— Alors ou accepter notre arrangement.

— Jusqu'à une certaine mesure. Nous n'avons pas encore discuter de tout les termes.

— Bien faisons le.

— Quoi maintenant ?

Il se tournait vers le bureau occupé à quelques mètre d'eux, leurs porte était ouverte et leurs regard c'était déjà croisé à travers les vitres.

— Est ce que ça vous excite de savoir qu'il peut entendre ?

— Non.

— Si tu me mens encore je vais devoir te frapper, la toute de suite. Tu ne veut pas que l'un de mes collègue vois ton jolie derrière dénudée.

Il déglutis à nouveau, son visage était si proche du sien qu'il avait envie de les goûter. La gifle le surpris.

— Mes yeux sont plus haut connard !

Elle s'éloigna de lui du réajuster sa position. Du coin de l'œil il remarqué le sourire de son collègue qui n'avait pas manqué toute la scène.

— Vous avez apprécié ?

Son ton était plus bas.

— Oui.

— Je vois ça. Alors de quoi vous vouliez discuter.

— Les punitions. Vous allez me frapper à chaque fois que je vous énerve ou vous désobéi.

— Oui.

Elle se balançait sur sa chaise de bureau.

— Est ce que je peut choisir ou et avec quoi ?

— Oui.

— Ne me frapper pas au visage.

— D'accord.

— Ou au moins n'y laisser pas de marque.

— Je suis aller trop fort ?

Au ton de sa voix il ne savait pas si elle était vraiment inquiète ou si elle se moquait.

— Non, ça disparaîtra dans quelques minutes.

— Vous n'aller pas juste me frapper, j'ai fais des recherches et il y a certaine chose qui...

— La plupart du temps je me contente de frapper, du déni d'orgasme ou vous forcer à me faire jouir avec votre bouche jusqu'à ce que j'en ai marre.

— Je suis pas sur de pouvoir contrôler mon orgasme.

— Tu es un grand garçon qui se sous-estime. De plus je connais pas mal de technique intéressante.

— Est ce qu'on irais dans votre club ?

— Parfois, mais je préfère jouer à la maison. J'ai tout mon matériel et de quoi prendre soi de vous après. Autre chose ?

— Quand est ce qu'on commence ? Mon emploi du temps n'est pas aussi flexible que le mien et je ne...

Fouette moi si tu peuxOù les histoires vivent. Découvrez maintenant