Elle le regardait déglutir et n'avait pas besoin de voir ses yeux pour découvrir le choc sur son visage.

— Qu'est ce que je t'ai dit mon lapin ?

— De me concentré sur l'odeur.

Elle le giflait à nouveau.

— Désolé maîtresse.

— Et qu'à tu fais en dehors d'oublier la règle numéros 4.

— Je me suis concentré sur ce que vous faisiez.

Ses lèvres s'approchait dangereusement de son cou et elle y planta ses dents ce qui faisait pousser un gémissement.

— Alors recommençons. Qu'est ce que tu sens ?

— De l'orange et des clous de girofle.

— Parfait.

Elle l'embrassa au même endroit ou ses dents l'avait meurtris, sucé la peau jusqu'à ce qu'il gémisse de plaisir.

— Maintenant tu vas écarter tes jambes et me laisser faire.

— Oui maîtresse.

Elle souris de satisfaction alors qu'il se détendit à ses côtés. Katherine repris sa place assise sur ses hanches, elle se délecté de ses soupirs et de ses gémissement pendant qu'elle embrassait et mordiller la peau de son torse jusqu'à son bassin. Il tremblait encore de nervosité pendant qu'elle baissait son pantalon et le lui retira. Elle effleuré sa cheville ou se trouvé son bracelet et il sursauta. Elle souffla sur les batons de cires et retrouva sa place, leurs entrejambe se frôler à travers les tissus fin.

— Douleurs.

Elle fit couler la cire sur sa poitrine et il gémit surpris.

— Plaisir.

Leurs hanche se balançait, elle se mordis la lèvre en le sentit se durcir d'avantage contre ses plis.

— Douleurs.

Elle recommença le même schéma et il grognait plus fort, il tenta de bouger mes ses jambes le maintenait en place.

— Plaisir.

Il jetait la tête en arrière. Elle refis jusqu'à ce qu'il ne reste plus de cire à faire couler, il était si dure contre elle, mais elle n'était pas encore prête à lui donner un orgasme.

Elle tomba à ses côtés pour le nettoyer avec un sopalin, il gémit alors qu'elle arracher les bouts de cire entre ses poiles. Il avait un léger duvet, une chose auquel elle devras remédier plus tard. Katherine embrasser sa poitrine meurtris le faisant se tordre sous les lèvres, mais s'arrêter jusqu'à son caleçon pour remonter jusqu'à son cou.

— S'il vous plait maîtresse, il expirait.

— Oui mon lapin ?

— Toucher moi, s'il vous plait maîtresse.

— N'est ce pas ce que je fais déjà ?

Elle souris alors qu'il gémit en guise de protestation.

— Dites moi qu'est ce que tu veut ?

— Je veut vous embrassez maîtresse.

— Non. Tu ne le mérite pas.

— Mais j'ai trouvé la bonne réponse maîtresse, il couina.

Elle souris, il se comportait comme un enfant et ça faisait un moment qu'elle n'en avait pas eu dans sa salle de jeux, des petits enfants si désireux de faire plaisir à leurs maman.

Fouette moi si tu peuxOù les histoires vivent. Découvrez maintenant