— Génial t'es enfin là ?

Il sursauta face à Mads qui se tenait debout derrière la porte d'entrée de leurs appartement.

— Tu attends là depuis combien de temps ?

— Depuis que je suis rentrée du travail il y'a deux heures. Attend moi là je dois aller pisser.

Il levait les yeux au ciel !

— Donc tu m'as attendus derrière la porte pendant tout ce temps. Tu es un chien ou un tueurs en série.

— Je voulais pas te rater, elle hurlait depuis la salle de bain.

Il rangeait ses courses dans la cuisine et par course, les invendus de la boulangerie que sa mère lui avait autorisé à prendre.

— Tu m'as rapporter de la tarte au pommes !

— Oui, soupira-il en sortant une assiette pour elle.

Elle réapparu et s'installa sur le plan de travail.

— Tu sais que je cuisine à cette endroit.

— Tu sais que je me suis envoyé en l'air à cette endroit ?

Il levait les yeux au ciel et lui tendis l'assiette.

— J'imagine que tu n'as pas attendus aussi longtemps uniquement pour manger une part de tarte.

— Comment c'est passer ta soirée ?

— J'ai les fesses rouge et je me suis envoyé en l'air sur un canapé à plusieurs milliers de dollar et toi ?

— Sur le canapé, celui de son salon ou de son donjon ?

— De son salon. Dans son donjon ? Je suis quoi une princesse fait prisonnière par un dragon.

— Tu connais vraiment rien. Un donjon c'est une pièce ou les dominatrice exerce leurs talent. T'as pas regarder les vidéos que je t'ai envoyé ?

— Si et hors de question qu'elle m'attache à une croix ou qu'elle mette ma tête dans un piloris.

— C'est pas à moi qu'il faut le dire ! Et rien il n'y a rien de mal à ça on à tous nos fantasme. Moi j'aimerais me faire prendre à quatre patte par mon patron dans son bureau.

— Je croyais que tu le détester parce qu'il mettait des mains au cul à toute ses assistante.

— Ne juges pas mes fantasme, monsieur je peut plus m'asseoir sans grimacer parce que j'ai pris trop de fesser hier soir.

— J'aurais jamais du t'en parler.

— Tu l'as pas fait je t'ai forcer la main parce que je suis une excellent reporter et que tu portes toujours des gants malgré qu'il face 25° dans l'appartement.

— C'est juste le temps que mes mains finisse de cicatriser.

Elle reposait l'assiette vide à ses côtés.

— Putain tes parents ne te paye pas à ta juste valeurs !

— Il font se qu'il peuvent.

— Ils te sous exploitent et par il je veut dire ta mère qui te forcent à faire des heures supp pour un salaire de misère parce que ça lui coûte moins cher que d'embaucher un vrai pâtissier.

— Merci du compliment.

Mads levait les yeux au ciel.

— Bien sur que tu es un vrai pâtissier et que tu n'as pas besoin d'un diplôme pour prouver ton talent, mais il n'empêche qu'elle te sous-exploite, c'est à peine si tu peut payer les factures.

— Je sais mais je peut pas démissionner et tu feras comment sans tout les dessert gratuit.

— Je me trouverais un autre colocataire qui travaille en boulangerie. Sérieux change de travail ! Prends un job avec lequel tu pourrais te payer une voiture. C'est pas très glamour de rentrée en bus d'un rendez-vous galant.

— Ce ne sont pas des rendez-vous galant. Je ne sais pas ce que c'est mais ce ne sont pas des rendez-vous galant !

— Essaye avec plus de conviction.

— J'aurais vraiment jamais du t'en parler.

Il s'éloignait d'elle pour se réfugier dans sa chambre, il avait besoin d'être seul après sa longue journée de travail.

Fouette moi si tu peuxOù les histoires vivent. Découvrez maintenant