🔗 C H A P I T R E XXX 🔗

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SOULEYMANE KABA....
Ça me soulage tellement d'avoir arrangé les choses avec ma femme , au final ce voyage était la meilleure solution pour qu'on se rapproche de nouveau, les mauvais œil ont voulu s'installer dans cette relation mais ils sont vaincus par la grâce du tout puissant ...

Nous avons passé une agréable soirée hier et tôt ce matin nous sommes allés prier à la mosquée ensuite faire une petite balade pour voir le lever du soleil , madame à mes côtés , je n'aurais pas demandé mieux et j'espère que le bon Dieu exaucera nos prières, après la séance photo nous avons décidé de rentrer puisque Salimata a appelé parce que mademoiselle est entrain de nous chercher partout dans la maison, elle n'a pas dormi avec nous donc elle ne sait pas où nous sommes...

Nouria : elle croit peut-être qu'on est rentré à Conakry sans elle

Rire

— connaissant sa petite bouche , elle ne va pas nous louper tout à l'heure, il faut vraiment qu'un autre enfant naisse dans cette maison pour que la demoiselle soit humble

Rire

Nouria : tu ne cesses de me choquer, toute façon Aicha c'est ton meilleure alliée moi je n'ai rien à dire

— tu as intérêt hein sinon, la honte va finir avec toi

Main dans la main nous sommes rentrés à la maison quand on trouve ma belle-mère et sa petite fille qui jouaient dans le jardin , dès qu'elle nous a vu seulement elle est venue s'arrêter à la porte ....

Aïcha : donc papa toi tu sors avec ton amoureuse maintenant sans moi ?

Rire

Salimata : votre enfant là est très terrible eh Aicha

— mais princesse tu ne veux pas que je me promène avec ma femme ?

Aïcha : si mais vous êtes partis où sans moi ? Moi je voulais rester avec toi

– oh navré ma princesse, prochainement j'irai avec toi

Nouria : on peut être jalouse de sa maman? Aïcha

Aïcha : moi aussi je veux que papa joue avec moi

Rire

Salimata : Nouria tu sais déjà que tu as donné naissance à ta rivale

— maman elle sait cela , Aïcha ne lui fait pas cadeau hein

Nouria : Dieu seul sait ce que ces deux là me font vivre

Salimata: courage ma fille , on vous attendait pour le petit déjeuner

— ah maman ? Pourquoi nous attendre ? Ce n'est pas juste ça on vous a pénalisé comme ça

Mon père : ta mère a insisté à ce qu'on vous attend, tu la connais non

Salimata : en tout cas on ne mange pas dans cette tant que mon fils n'est pas là

Mon père : voilà ce qui est dit, on ne peut plus respirer dans cette maison Souleymane par ci Souleymane par là

Rire

Salimata: y'a un qui est bien jaloux ici hein , venez manger les enfants

Aïcha : papa faut me prendre !

— viens princesse ! Tu prends du poids hein bientôt papa ne pourra plus te porter

Rire

Aïcha : mais papa tu es très fort regarde tes gros bras là

« UNE VIE À DEUX» TERMINÉE Où les histoires vivent. Découvrez maintenant