Longue Missions

Chapitre 1

Plusieurs habitants de baldur's gate incluent une femme, avaient été enlevé par le nautiloïde un étrange verseau de chair, contrôlé par physiologie.

Cette femme tieffield ayant perdu la mémoire, savait plus que deux chose : son nom, et le fait qu'elle avais une terrible migraine. Oh et aussi qu'elle es en danger.
La dame criant alors son nom à voix haute. Elle connais au moin une partie d'elle-même : Attaka. Suite à cette exclamation elle sentait ses sombres pulsions la contrôler d'une certaine manière. La mage es quelqu'un de spécial, elle le savait, non ? Inutile de lutter. Elle savait ce qu'elle avais à faire. Prendre ce couteau de faire ce qu'elle sait le mieux faire. C'est on peut plus facile.
Et elle ce sent tellement mieux à présent.

La femme s'enfonçant aussitôt dans le véhicule de chair pour quête : de trouver le moyen de quitter le nautiloïde.

Six minutes passent.
La femme traverse une arche d'un étrange sphincter. Elle entendi une étrange voix s'adresser a elle. Une espèce d'ascenseur appelée : appareillage neural, s'ouvra à elle. la voix était plus haute, Attaka grimpant aussitôt ce dernier.

Voix étrangère : sortez nous d'ici.
Nous somme coincé.
A l'aide.

En direction de la voix elle aperçoit que la voix venait d'un corps malencontreux, mais plus précisément cette voix venait du cerveau. La mage interagissent avec le cerveau.
La voix étant donc une présence psionique.

Voix étrangère : oui ! Vous venez délivrer nous de cet endroit. Ce cet endroit vous allez sauver nous !
Vite, par pitié, avant qu'ils reviennent.

Attaka : je crois que personne ne peut plus rien pour vous. Dites-moi ce que je dois faire.

Voix étrangère : affranchissez nous de ce corps. De ce corps, libérer nous. Par pitié !

Elle regardant alors attentivement le cerveau coller au crâne, comment pourrait-elle l'aider ? Elle fit d'un peu de dextérité pour extraire délicatement le cerveau de sa boîte crânienne. Cela réussi !

Elle lui vient une idée au moment où le cerveau glissant hors de la boîte crânienne elle pourrait mutiler l'étrange créature afin de la rendre plus obéissante pour paré à toute menace. Ces doigt sont pris de spasmes, tant est grande son envie de réduire cette chose en lambeaux.
Combattants c'est envie malsaine voire répugnante, épargnants la créature. La moindre blessure pourrait l'affaiblir.
Le cerveau s'agitait soudainement, puis tombant au sol, quatre pattes lui sortie aussitôt du corps. Cette créature portait le nom de : nous.

Nous : la liberté es rendu à nous ! Nous est libre. Amie.

La créature s'interrompt pour écouter. Quelque chose derrière l'oeil de la femme réagit soudainement. C'était cette fichu larve incorporer dans son cerveau. un certain lien avais été établi avec nous.

Nous : nous dois aller à la passerelle. A la passerelle. Nous es attendu.

Un signe de la tête, la femme répondit de la suivre. Les deux amis partagent maintenant le chemin ensemble.

Une dizaine de minutes passant.
Une étrangère nous interpelle l'arme à la main. Elle nous menaçait ?

Inconnue : votre heure est venue abomination.

La tête pris dans un étau et tout son corps es envahi de picotements. Des visions fugaces traversent votre esprit : une aille de dragon, une épée d'argent... et son propose vissage vu au travers des yeux de la femme mystérieuse.