CHAPITRE 8

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๑Assalam Aleïkoum wa rahmatoulahi wa baraka tu'hou๑.

Moi: Assalam aleïkoum.

Je trouve seulement leur tante c'est la petite sœur de la mère de Kadidia. Elle vit chez elle. En plus la cour était vachement bien arrangé et y'avait du monde.

Elle : walleïkoum salam, chikiaa.

C'est comme ça qu'elle m'appelle mais  ça vraie définition en zarma est *la petite chika* .

Moi :wou fofo tanti mangua Salima) (salue a vous tanti où est Salima ?)

Salima c'est sa plus fille âgé de 20 ans elle est en Tle D. Des fois elle vient même chez nous c'est une amie à nana fatouma.

Elle :a gono, a gua irkoy sabou wallah, son bah nim ka gua die ir wallah ?( Elle vas bien, maintenant même de venir nous voir tu viens pas nespa?).

Moi :tanti mati ya dine noh (tanti c'est pas ça).

Elle :to dine cthi y'a dine bah ( d'accord si tu le dit 🙄).

Moi :wou si foutou ay cé incha Allah dey dou dama ay gua ka ( ne me boudé pas, quand j'aurais le temps je viendrai vous voir).

Elle :toh (d'accord).

Moi :ahan.

Je rentre dans la maison et je trouve tanti, tonton et deux invités je crois que c'est une femme et son mari.

Moi : Assalam aleïkoum.

Je part vers eux et je fais une génuflexion pour tous les salué en disant comment allez vous Tanti ou tonton mais je me rappelle très bien de ce Mr.

Le tonton : achika ?

Moi :oui, tonton.

Lui : c'est bien toi.

Le père de didia: vous vous connaissez ?

Tonton :oui, bien sûr, c'était il y'a cinq ans.

Flashback

Aujourd'hui nous sommes samedi,
Il fait 17h et je suis sûr la route de la maison, mais je décide aujourd'hui de pas prendre un taxi comme ça je pourrais économisé et je préfère faire le trajet à pied, je marchais et je suis arrivé à la Station sahara de Bobiel, il me restait un bon bout de chemin quand je m'arrête pour acheter de l'eau puis je rentre dans le virage qui vas me mené jusqu'à le goudron de Niamey Niala , le virage était si déserte et je vois de loin un homme se faire agressé par deux vagabond alors je fais vite et appelle la police, je me rapproche d'eux et je trouve l'homme là ensanglanté, alors je prend juste le couteau que j'avais dans mon sac (car pendant toute ma vie scolaire j'ai des ciseaux, couteaux, briquets et plein d'autres chose dangereuse dans mon sac, oui je sais 😂, c'est permis à personne d'y toucher) et le pointe sur eux.

Moi :woua tan (lâchez-le)*ironiquement* .

Pov:Wo wo wo, besta on est pas dans les film indien reviens sûr la terre du Niger.

L'un :hest, fande ir bani wal ir mine wih (hest, laisse nous où on te tue).

Moi :woua tan dey aran yah wal ay ma kouwa(lâché le dey ou je crie).

L'autre :ay guine nioco dine man hagyai(je vais te baissé si tu fait pas attention).

Le Mr :ay izo, kouai (ma fille, part)* tousse*.

Je me rapproche d'eux et essayer de poignardé le premier mais il devint plus rapide que moi et me fissure avec le couteaux dans la paume de ma main, il a voulu me l'enfoncer mais il a juste ouvert la paume de ma main.

ᴍᴏɴ ᴍᴀʀɪᴀɢᴇ ᴀʀʀᴀɴɢᴇ ᴀᴠᴇᴄ ʜᴀᴍᴢᴀ[en Correction]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant