CHAPITRE 66

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๑Assalam Aleïkoum wa rahmatoulahi wa baraka tu'hou๑

Une petite feuille y tombe.

Si tu veux pas que je leurs fasses quelque chose de plus à ce que je leur ai fait, vient me rejoindre ce lundi à trois heures du matin au début troisième pont à l'arrêt du milieu, ou tu sais ce qui vas se passer, surtout ne prévient personne, ne vient pas avec un téléphone, ne vient avec personne non plus surtout hamza, et ne prévient pas la police !

J'explose en larmes je pleure jusqu'à fatigué mais je suis toujour pas rassurer donc avec une énergie sur naturel je monte en douce et pars dans la chambre de amira y'a kedal, elle n'y est pas je reguarde dans toutes les chambres, en fessais un effort pour pas faire du bruit arrivé à celle de Hamza heureusement que c'est pas arrivé mais mon œil, rien s'y trouve.

Je suis vraiment confuse de dire à hamza ou non? Je veux vraiment lui dire mais j'ais peur que quelques choses leurs arrivent, j'ai décidé d'aller seul ce qui a été dit par Allah depuis la nuit des temps va se passer.

Si tu y vas et puis quoi? Elle vas les relâcher tu crois ? T'as quoi pour te défendre ? Et si elle vous tuait tous?

Ma conscience me chuchote ça mais je suis beaucoup assez déterminer, même si en y repensant elle a parfaitement raison mais bon je suis très préoccupé.

Alors je descend puis j'enfile mon voile et je prend de l'argent, je sors en douce heureusement que personne ne m'a choppé la main dans le sac, et je réussis à sortir sans que les vigiles me voient,
j'ai galéré de merde avec mes béquilles avant d'arriver au goudron direction chez tanti Awa.

À cet heure-ci Niamey est encore animés ? C'est plus animés que quand il fait jour !

Arrivé là bas tout était saccager, les ampoules étaient toutes allumées, ainsi que la télé, le plat de tajine d'agneau au carotte attendait d'être déguster, je me suis gouffré sur le fauteuil en pleurant de plus en plus.

Elle ne sors jamais si elle n'est pas là c'est que elle a été sorti d'ici de force.

Pourquoi je suis si stipude hein ? Je savais très bien que Kadidia me suivait mais pourquoi j'ai été si stipude en venant la voir ?

Mais aujourd'hui je vais porter mes ovaires et aller à l'endroit indiqué si elle veux, elle n'a qu'à me tué car c'est après moi qu'elle en a.

Ma fille est innocente, elle n'a rien demandé, elle n'a rien avoir dans toute cet histoire.

Et je sais qu'elle ne l'a porte dans son cœur, elle peut faire du mal à la petite, si ça arrivait jamais je me le pardonnerais.

Et tanti Awa que dire ? Rien elle n'a complètement rien a y faire dans ça, elle ne connait personne chez nous à plus forte raison leur cosé du tort je vais devenir folle.

Je me lève et ferme les portes et éteind les ampoules, je sors et contrairement à chez nous j'atteins vite le goudron le cœur battant la chamade, les larmes au yeux.

Dès que j'y arrive je trouve un taxi c'est même pas loin avec seulement deux cents francs CFA j'y serais, arrivé à destination le taximan me dis qu'il n'a pas de monnaie à mes deux milles.

Moi:*toujours en pleure* monsieur gardez la monnaie.

Lui: ahh madame attendez je vais chercher pour vous l'amenez.

Moi: non merci j'ai dis de garder*en ouvrant la porte*.

Lui : j'insiste !

Moi:DONNEZ-LE À UN NÉCESSITEUX!

Je cris sur lui en claquant la porte de sa bagnole. Je demande l'heure à une jeune femme qui était habillé plus tôt vulgairement mais je m'en foutais royalement.

ᴍᴏɴ ᴍᴀʀɪᴀɢᴇ ᴀʀʀᴀɴɢᴇ ᴀᴠᴇᴄ ʜᴀᴍᴢᴀ[en Correction]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant