CHAPITRE 64

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๑Assalam Aleïkoum wa rahmatoulahi wa baraka tu'hou๑

Lui: ehh beinn félicitations, le réveil de notre patiente a été un vrai miracle, hier soir lors des analyses, son corps ne fesait aucun mouvement, limite il ne réagissait pas, nous avons remarquer aucune trémulation ni réflexe, mais aujourd'hui par la grâce d'Allah elle s'est réveillé, elle a besoin de repos donc nous lui avons administrer des sédatifs, mais elle est encore faible elle a ardemment besoin de repos.

Moi: médecin, quand pouvons nous rentré ?

Lui: minimum demain soir!

Moi : d'accord !

Le lendemain, mercredi(jour-j-5).

Achika.

Il fesait à peut prêt 18h quand je vois deux silhouettes introduire la chambre, mais eh ho c'est pas les heures de visites non?c'est dans trente minutes.

...: alors madame a survécu ?

Ohh non me dite pas que c'est elle ?

...:*toisement* oui oui apparemment !

Elles viennent prendre place, je suis impuissante face à elles mais je vais pas les laisser s'en apercevoir, je me redresse malgré mes bandage et mes plâtre.

Moi : oui je suis toujours là comme vous l'avez constater, bien en forme, vous avez rater votre cible, la prochaine fois essayez de bien ciblez vos proies.

Je veux qu'elles avouent le crime.

Kadidia : humm t'as gagné la bataille mais pas la guerre chère amie, tu as certes échappé de justesse à ce coups, mais pas à la prochaine fois !

Belle mère :*toussement* je t'assure ! Cet prochaine fois tu vas pas filer.

Moi: ouais ouais c'est ça !

La vielle là est malade je l'assure, elle a des cernes affreux et est tellement pâle, et ses fort toussement ne sont pas de marbre.

Kadidia : à cause de toi, avant hier Djibril s'est échappé de prison et il me recherche.

Je suis choquer, Donc JIBRIL est en liberté ? La vache.

Moi: je m'en fous hein Kadidia, qu'il te trouve et te tue.

Elle : tu vas voir achika la dernière fois mes hommes t'ont raté mais cette fois-ci, c'est moi même qui vas s'occuper de ton cas.

Moi: j'ai hâte Kadidia ! Mais Kadidia tu me déçois vraiment moi qui a été autre fois ton amie tu ose souhaiter ma mort jusqu'à la commendité?

Elle : rien a foutre j'ai tué Kheirane donc toi t'es personne, quand je veux quelque chose je l'obtient par tout les moyens, et je t'assure que kheïrane n'est ni la première ni la dernière.

Moi: dans la boîte !

Je sors mon téléphone que j'avais cacher, heureusement que je l'ai enregistré.

Elle : t'a pas osé ?

Moi : si*avec un sourire au coinI.

Elle se lève puis retire la peigne qu'elle avait fourré dans ces cheveux, elle tire la partie inférieure, ma surprise fut de voir un couteau, oh-oh j'avais pas prévu ça.

Elle : donne le téléphone.

Moi : jamais !

Elle se lève puis se dirige vers moi, elle a voulu me le planté dans la jambe heureusement que hamza est rentré à temps, sinon elle m'aurait tuer, elle cache spontanément son couteau.

ᴍᴏɴ ᴍᴀʀɪᴀɢᴇ ᴀʀʀᴀɴɢᴇ ᴀᴠᴇᴄ ʜᴀᴍᴢᴀ[en Correction]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant