CHAPITRE 28

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๑Assalam Aleïkoum wa rahmatoulahi wa baraka tu'hou๑

Non non non c'est pas possible, ma fille ne serai jamais capable de faire ça, il m'a fallut peu pour  la connaître et c'est pas Une voleuse. Il sort de son sac deux liasses de billets, je reste immobile, puis deux complets de chaîne en or.

Elle : maman je te jure que c'est pas moi qui les a pris.

Je voudrais bien la croire mais toutes les preuves l'incrimine, je sais plus qui croire.

Ma belle mère : je ne veux pas d'une voleuse chez moi..

Haly:je vous mets en garde chacun n'a qu'à resté sur ces gardes même dans ta propre maison, comme le proverbe le dit le danger n'est jamais Loin.

Sur ce elle part suivi de ces enfants et son mari, je sais pas ce que j'ai fait à haly mais je vais lui parlé à la miable.

Petit à petit tout le monde part chacun déçu et d'autre peut être satisfait, Amira n'arrête pas de pleuré, je la prend et monte.
J'entreprend une sérieuse discussion avec elle.

Elle : maman tu me crois pas ?

Moi: c'est pas que je te crois pas mais toutes les preuves t'incrimine, déjà raconte moi se qui c'est passé.

Elle: quand j'avais finis de jouer avec la voisine, je montais quand elle m'appelais, et je te jure que Bintou était là, quand je suis monté elle m'a donné des sucreries et après ça j'ai directement dormis pourtant j'avais mm pas sommeil.

Bizarre.

Elle : après je me suis réveillé j'ai pris mon sac et je suis sorti je l'es pas trouvé.

Elle recommence a pleuré, je l'es j'avais vue ainsi et mon cœur me dit qu'elle a raison.

Moi :tu vois les conséquences ? Quand je te dis de ne pas partir chez elle ? Ou quelqu'un d'autre dans cette maison ? Quand je te dire de ne PAS faire quelque chose, écoute moi et obéi, je sais pourquoi je te dis de ne pas avoir le faire mais toi tu es là entrain de faire ta tête dur, maintenant promet moi d'éviter les soucis.

Elle :je le promet.

Moi : maintenant vas te coucher, n'oublie pas le duas du soir.

Elle : inchallah, maman, je sais que tu n'est pas ma vrai mère mais je vois l'amour que tu porte pour moi, je t'aime maman, qu'Allah nous laisse ensemble.

Moi :ameen.

Mon téléphone vibre et je reçois une notification de Kadidia.

Kadidia 📩: Soit tu marche sur les autres, soit tu te fait marcher déçu et moi je vais te marché déçu.

Je reste cho-qué, donc ce que Amira disai est vrai. Alors aux grands maux les grands remèdes.

Hamza

Moi: je veux de la paix chez moi, reguarde si Amira n'avais pas pris ça et que c'était un inconnu, qu'es-ce-qui allait se passer ? En plus garde bien tes affaires, Kadidia si c'est pas la petite qui a réellement volé ces affaires là, wallahi tu vas me sentir de l'avoir accusé.

Elle : attend ? Donc tu prend sa défense et bien je vais te dire quelque chose tu ne vas rien me faire, tu m'entend? Même si c'était moi ques-ce-que tu vas me faire hein ? Tu es qui à part un lâche, tu m'as trompé avec achika c'est seulement à quelque jour de votre mariage que tu m'informer, t'as vue le scandale quel t'as posé à la soiré ? T'as vue qu'elle cherche ta mort ? Et puis toi ? Tu défend cet enfant, je suis sûr que c'est sa fille caché, c'est sa bâtarde tu comprend pas, en plus achika c'est une pute, elle dormait même avec les garçons avant votre mariage, tu n'es qu'un lâche hamza, tu m'entend un lâche.

ᴍᴏɴ ᴍᴀʀɪᴀɢᴇ ᴀʀʀᴀɴɢᴇ ᴀᴠᴇᴄ ʜᴀᴍᴢᴀ[en Correction]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant