733 mots,
Désolé pour se court chapitre
Et désolé de si peut écrire ces derniers tempsBonne lecture😊
Sa y est c'est le weekend de sortie. Ce jour-là Izuku était à table mangeant un bon Katsudon qui avait été préparé par sa mère, il est seul face à son père (Hisashi) et sa mère (Inko). Le vert ne savait pas comment aborder le sujet, il était stressé mais il avait pris son courage à demain, il avait pris une grande respiration avant de prendre la parole, la gorge nouée et le ventre serré.
Izuku - J'ai quelque chose à vous dire.
Inko - Dit nous.
Izuku - Je suis enceinte.
Il n'avait eu aucune réponse sur le moment. Le stress de l'adolescent avait décuplé.
Hisashi - J'espère que c'est une blague.
Izuku - N-non sans est-est pas une.
Hisashi - Tu vas avorter ?
Izuku - Je-
Hisashi - Si tu avortes compte pas sur nous pour payer.
Izuku - Je ne veux pas avorter.
Hisashi - Tu es sur de ton choix ?
Izuku - Oui !
Hisashi - Bien.
Soudain le père se lève de sa chaise et part à l'étage. Le plus jeune se tourne vers sa mère -qui est bloqué sur place- et la minute d'après Hisashi revenu dans la salle à manger une valise à la main. L'adulte attrapa l'adolescent par le bras avant de le jeter hors de la maison, il lui jeta sa valise au visage, Izuku la rattrapa de justesse.
Présent
Izuku (voix suppliante) - Non s'il vous plait !
Hisashi (voix agacer) - Tu mérites même pas de vivre. Tu fais honte à notre famille.
Son père claque la porte sans grande délicatesse. Le jeune homme tombe à genoux sur le sol en bois du palier du devant de la maison, totalement désespéré. Son monde vient de s'effondrer en une fraction de seconde, ses larmes coulent telle une fontaine. Ils ne s'attendaient pas qu'ils sautent de joie mais il espérait qu'ils fassent preuve de bonne foie, le moins qu'on puisse dire c'est que ce ne fut pas le cas.
Il reste planter là pendant un long moment, à pleurer à chaudes larmes. Izuku finit par se lever, il regarde la maison puis parti. Il marche dans les rues sans but. Il ne sent pas le mouvement de ses jambes, il sait qu'il marche mais il ne le sens pas.
Le soleil laisse apparaitre la lune, il fait sombre seul les lumière de la ville font de la lumière, les lumière des maison son toute éteint. Le vert marche dans les rues tout la nuit, c'est quand le soleil se lève qu'il part vers Yuei pour se préparer.
*
Le lycéen avait passé sa nuit a marché, c'est aux alentours de 7h qu'il se retrouve devant l'internat près à rentré pour aller se changer pour les cours. Il entre dans l'internat, ses jambes le dirigent toutes seules à sa chambre.
. . . - Deku-Kun ça va ?
Le nommé Deku-Kun se tourne vers la jeune femme et il lui offre un sourire, son sourire paraît vrai mais au fond il est tout autre.
Izuku - Oui ça va. Et toi Ochaco ça va ?
Ochaco - Ça va.
Le menteur reprit sa route, il arrive dans sa chambre, il glisse le long de la porte, ses yeux lui piquent puis les larmes coulent. Izuku reste là toute la journée loupant ses cours, il avait envoyé un message à Denki disant qu'il était malade, le blond l'avait cru ne se doutant pas de la situation actuel.
Il est resté toute la journée contre cette porte, pleurant a chaude larme, rien ni personne pour le consolé. Toute la journée il avait entendu ses sanglots. Sa gorge est serrée et son ventre noué.
Soudain après des heures sans bruit autre que ses sanglots il entend la porte de l'entré claquer puis des voix emplirent la salle commune. Paniqué, il se lève et va mettre son pyjama puis il va se mettre sous ses couettes, ses larmes coules silencieusement, pas de sanglot, juste des perles salés.
Soudain on toque à sa porte, Izuku ne répond pas, il veut le faire croire qu'il dort. La porte s'ouvre laissant un abas jour, la personne entre et va au bureau du concerner et dépose des feuilles puis s'en vas. La chambre est replongée dans le noir complet.
Le vert sent ses yeux se plissé pour finir par se fermer, une dernière larme coule le long de sa joue puis il s'endort, épuisé.
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Pourquoi moi ? [BakuDeku]
Fanfiction. . . (voix suppliante) - Non s'il vous plait ! . . . (voix agacer)- Tu mérites même pas de vivre. . . . claqua la porte sans grande délicatesse. Le jeune homme tomba à genoux sur le sol en bois du palier du devant de la maison, totalement désespé...