IMPREVISTO

Chapitre 7

Salut mes stars !!

Je suis grave en retard excusez-moi (je vais vraiment essayer de mieux m'organiser la prochaine fois mdrrr).

Je voulais vous dire merci pour les 400 vues !! Je vous aimes trop, c'est incroyable, vraiment LOVE U !🩷

En tout cas j'espère que vous n'avez pas oublié l'histoire.

Bonne lecture !!

Russie, Kazan

Milana

Le clapotis régulier des gouttes d'eau sur le goudron eu le don de m'apaiser instantanément.

La pluie ici m'avait manqué. Elle avait toujours cette façon de me détendre.

En revanche, des râlements d'Ezio, je m'en serais bien passé.
Il ne m'avait toujours pas adressé un mot depuis l'avion.

Soudain, je me rappelai que je n'avais jamais demandé comment se déroulerait la mission. J'avais compris que je devrais traduire la discussion qu'il y aurait entre Alexeï et Ezio, mais je savais bien qu'il ne m'avait pas fait venir uniquement pour ça.

— Ne m'oblige pas à refaire ce que j'ai fait, tu sais comment ça s'est terminé.

Mes paroles l'avaient comme ramené à la réalité. Il releva la tête et me scruta jusqu'à qu'il trouve ses mots.

— Non, c'était trop compliqué te demander vu le genre de fille que tu es.

Je ne m'attendais pas à ça, qu'est-ce qu'il racontait encore lui ?

— Éclaire-moi, quel genre de fille je suis ? crachai-je rageusement.

— Le genre de filles à être faible.

Ce fut comme une douche froide.

Faible ? C'était ça qu'il pensait des femmes agressées ?

La rage peut vite le dessus.

Détrompe-toi connard.

Brusquement, je sortis mon Glock de ma poche arrière et le pointai dans sa direction.

L'italien laissa apparaître un léger sourire en coin en murmurant :

— Tu n'oserais pas la Rossa...

Je ris faussement. Il ne me connaissait pas encore, et il était loin d'être au bout de ses peines.

Sans prévenir, la balle partie en direction de son épaule.

Étonnamment, aucune partie de son corps n'avait réagi à la détonation. C'était comme s'il s'y attendait, ou bien comme si recevoir une balle le désintéressait complètement.

Le sang qui coulait le long de son bras ne sembla pas l'alarmer, ne serait-ce qu'un peu. La douleur vive qu'il aurait dû ressentir ne paraissait pas l'avoir dérangé non plus.

... Comme s'il était habitué à la douleur.

Son sourire s'élargit jusqu'à laisser apparaître une légère fossette.