BURNING LOVE

𝟶𝟸. 𝙸𝚗𝚌𝚘𝚗𝚗𝚞.

Ander
—

J'étais posé dans mon salon, en pensant à la blonde que j'avais bousculé tout à l'heure.

Mais qu'est-ce qu'elle foutait là-bas.

Au moment où je l'ai fait tomber, j'allais la laisser, mais voyant qu'elle ne s'était pas relevé toujours sous le choc de notre bagarre. Je me suis approché d'elle, et lui a tendu la main. Pour qu'elle se lève et qu'elle s'en aille. Avant que ça dérape.

Alors réfléchissants sans arrêt à elle, ses yeux bleus, ses cheveux long bouclés blond, sa tenue, j'étais perdu dans mes pensées, quand tout à coup, mon père fit son entrée avec un air sérieux et sévère. Je pouvais sentir que quelque chose de grave se préparait.

- Ander. Tonna sa voix grave, dans toute la pièce.

Je ne lui répondit pas, sachant pertinemment qu'il me voyait, et que j'attendais qu'il parle.

- Ander, mon fils. J'ai une nouvelle mission pour toi, mais assez différente des autres. Commence-t-il.

Je m'attends toujours au pire avec lui.

- Tu vas t'infiltrer dans une université pour..

Je ne le laisse même pas continué, que je me relève instantanément.

- Hors de question que j'aille à université, ton crâne de vieux ne marche plus ou quoi ? Lui criais-je presque dessus.

- N'hausse pas le ton sur moi ! Tu vas intégrer cette putain d'université, pour trouver un intrus. Il marqua une pause avant de dire. C'est clair !

Non, ce n'est pas clair, connard.

- Bah, débrouille-toi pour retrouvé cet intrus. Et comment il est à l'université, qu'est-ce qu'il a fait ce gamin ?

- Pour camouflé son masque de gros fils de pute.

Mon dieu, et qu'est-ce que j'en ai rien à foutre moi.

- Et pourquoi je devrais m'infiltrer et tuer ce mec, lui demandais-je, sur les nerfs.

- Pour te venger, Ander !

- Me venger de quoi ?

- D'Ellie. Crie-t-il.

À l'attente de ce prénom, ma mâchoire se décompose, j'avais perdu le moyen de prononcer un seul mot.

Ellie..

- C-comment tu la retrouver ? Et qui t'a dit que c'est lui ? Bégaie-je.

- On a fait nos recherches, fiston. Toi et Erik, vous allez vous infiltrer pour récolter des informations pour en être certain, et après le torturé comme tu tant attendu, sourit-il.

- Pourquoi tu ne m'avais pas du plutôt que c'était pour maman ? Demandé-je, bouleversé par tout ce qui venait de ce passé.

- Tu m'avais coupé la parole, répond-t-il, simplement.

Oui, c'est vrai.