𝟷𝟻. 𝙲𝚞𝚛𝚒𝚘𝚜𝚒𝚝é.

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Inconnu

- Bordel de merde ! Criai-je, en frappant violemment sur le bureau.

Il baissa alors la tête devant moi.

Assez, c'est assez.

Je me rapproche de lui, puis l'attrape brusquement par le col pour ensuite le plaqué au mur, et l'étrangler.

- Pourquoi tu ne l'as pas rattrapé ? Hein ?! Hurlai-je, presque.

- Elle..elle était déjà dans la voiture..je-je pouvais pas- Bafouille-t-il. 

- Assez ! Dis-je, en le giflant.

Mancini, Mancini, Mancini..

Toujours dans mes pattes ce connard.

TOUJOURS !

Je vais le buter. 

- Amène la blondinette. Lui ordonné-je.

Et comme si je parlais au mur, il ne réagis pas.

- T'es sourd ou tu le fait exprès ? Je t'ai dit de ramené la blonde, bordel ! Lui hurlai-je.

- Oh..oui..oui..pardon, j'y vais. Et il court aussitôt vers la sortie.

J'ai besoin d'elle.

Après quelques minutes qui me semblait une éternité, il me l'amène enfin, puis la jette par terre.

Elle avait les yeux rouges, je remarque aussi qu'elle a maigris.

Putain, ces connard lui donnait pas à bouffer.

Je relève mon regard vers lui.

- Est-ce que tu lui a donné de la bouffe ? Demandai-je, d'un ton sec.

- Non, maître. Dit-il, fièrement.

Salaud.

Je retire alors vite mon arme de ma ceinture, et appuis sur la gâchette et lui tire dessus.

La blondinette agenouille devant moi sursaute légèrement, en pleurant.

Je me baisse un peu, à son niveau. Puis touche son menton et le lui relève.

- Ne pleure pas, mon amour. Il le méritait, il ne te donnait pas mangé. Dis-je, en souriant et en lui caressant la joue.

Elle recule, puis se dégage de ma prise.

- Ne me touche pas, connard ! Crache-t-elle.

Elle relève son regard vers moi, ses yeux me dévisagent, ses joues rosies et mouillé par ses larmes, ses cheveux blond décoiffé.

Tellement belle.

Je me relève, m'approche de mon bureau. Et prend un paquet d'Oreo qui était posé sur celui-ci, puis je me retourne vers elle, et lui tend le paquet.

BURNING LOVEOù les histoires vivent. Découvrez maintenant